John-Rimbaud a écrit :
Ah bon, le réchauffement climatique, la pauvreté massive, c'est du Spielberg?
Oula. Il faut effectivement arrêter de communiquer si l'on veut endiguer ses problèmes...
Un exemple me vient à l'esprit: Je suis donateur pour médecin du monde. Si on ne m'avait pas fait parvenir de plaquette, et qu'une personne ne m'avait pas expliqué en quoi ça consistait (c'est de la comm' non?), je n'aurais jamais donné pour cette asso. Tout n'est pas toujours tout blanc ou tout noir.
John-Rimbaud a écrit :
J'aime le web et j'aime développer. Simplement, plus les années passent, et moins j'ai de plaisir à la fois à naviguer et à bosser.
Je te suggère donc la même chose. Si tu ne prend plus de plaisir à bosser ni à naviguer, achète une guitare ou un ukulélé et va faire de la musique, prend un peu l'air.
John-Rimbaud a écrit :
Peut-être parce que c'est compliqué de trouver une agence web qui ne fasse pas en grande partie de la comm ? Et je n'ai pas spécialement envie non plus de passer mes journées à bosser sur des algorithmes banquaires
Donc tu reste dans cette agence pour le fric, fric qui te servira à consommer, et donc à participer à ce système que tu a l'air de détester. T'es écœurant!
Faire la révolution sur un forum c'est cool, mais si les actes suivent pas les propos, c'est comme le flat, ça n'a que très peu d'impact.
a écrit :
Ce n'est pas du mépris, c'est de l'observation. J'ai du mal à comprendre comment l'on peut dormir la nuit quand son métier consiste à rendre des gens stupides. Sinon je reste énormément les vrais artistes. Les dessinateurs, les peintres, les photographes, ceux qui donnent vie à des jeux vidéos ... Dans ma boîte il y en a pas mal qui rêveraient de faire autre chose que des affiches destinées à vendre des produits de merde pour des clients insupportables, j'ose espérer que c'est le cas dans la majorité des agences
Et toi? Comment tu arrives à dormir? Tu fais parti de la chaine puisque tu développes les sites que tu détestes tant. Pour l'argent en plus! (Sale capitaliste!). On attend donc ton témoignage, sur ce que tu ressens en te regardant dans le miroir =)
John-Rimbaud a écrit :
Peut-être parce que c'est compliqué de trouver une agence web qui ne fasse pas en grande partie de la comm
Peut être parce qu'un site web c'est de la comm' tout simplement.
Bref.
Comme Stéphanie l'a bien dit, sur le fond t'a pas totalement tort, mais tu es quelqu'un de borné, qui semble toujours avoir raison sur tout. Soit.
La seule chose que je tire de l'échange que l'on vient de faire sur 6/7 pages, c'est que tu sembles aigri et malheureux dans le monde qui t'entoure et dans ton taff actuel, et quand on est pas heureux pendant trop longtemps, on change quelque chose.
Tu as donc parfaitement bien méprisé tout les métiers de la communication, comme si ils en avaient besoin, plus spécialement les graphistes / webdesigners / printeux etc... ( sauf le tient, faut pas rigoler ).
Bravo clap clap. Gamin.
Ce n'est ni plaisant, ni intéressant de discuter avec toi, et ta vision triste et réduite du monde n'apporte rien de positif. Tu n'apportes rien à la discussion hormis un jugement ( et non une analyse ) sur tout.
Ce sera donc mon dernier message sur ce topic, tu es effectivement une cause perdue.
a écrit :
Un exemple me vient à l'esprit: Je suis donateur pour médecin du monde. Si on ne m'avait pas fait parvenir de plaquette, et qu'une personne ne m'avait pas expliqué en quoi ça consistait (c'est de la comm' non?), je n'aurais jamais donné pour cette asso. Tout n'est pas toujours tout blanc ou tout noir.
Et pourquoi a-t-on besoin de médecins du monde ? Parce qu'aux lieu d'être centralisés pour le bien de l'humanité, les capitaux sont monopolisés par les très riches. Si les richesses étaient partagées équitablement et que ce qui devrait être géré par les états (recherche, développement...) était géré par les états, médecins du monde et autres associations humanitaires n'auraient tout simplement plus de raison d'exister.
a écrit :
Je te suggère donc la même chose. Si tu ne prend plus de plaisir à bosser ni à naviguer, achète une guitare ou un ukulélé et va faire de la musique, prend un peu l'air.
Je suis musicien, mais il faut bien bouffer vu qu'aujourd'hui vivre d'un art tient du miracle et impose en général de faire de la merde (tiens, comme dans le web en fait)
a écrit :
Et toi? Comment tu arrives à dormir? Tu fais parti de la chaine puisque tu développes les sites que tu détestes tant. Pour l'argent en plus! (Sale capitaliste!). On attend donc ton témoignage, sur ce que tu ressens en te regardant dans le miroir =)
Ah mais je ne dis pas le contraire hein, d'ailleurs si c'était à refaire je ne me serais probablement pas spécialisé dans le web
a écrit :
Peut être parce qu'un site web c'est de la comm' tout simplement. Bref.
Heu non, ça peut servir à informer, à distraire ... Il y a évidemment pratiquement toujours pour finalité de faire de l'argent, mais tant que ce n'est pas en abrutissant les masses, c'est déjà un bon début.
Ben prend ta guitare et va faire le tour du monde. J'ai des amis qui le font, et ils vivent très bien. Sans être dans les métiers de la com. Avec un mini van, un groupe de potes et une guitare. C'tout.
Si tu n'arrives pas à vivre de ta musique, c'est que tu es trop attaché à ton confort moderne, ou que tu es mauvais. No pain, no gain!
Bref, je ne vois la que les affirmations d'un mec qui ne connait rien à la comm', et rien à la musique (Mozart ne fait pas passer de message dans sa musique ? Il ne communique rien ?).
Bref, dernier message pour moi aussi, tout a été dit.
Si tu n'arrives pas à vivre de ta musique, c'est que tu es trop attaché à ton confort moderne, ou que tu es mauvais. No pain, no gain!
Bref, je ne vois la que les affirmations d'un mec qui ne connait rien à la comm', et rien à la musique (Mozart ne fait pas passer de message dans sa musique ? Il ne communique rien ?).
Bref, dernier message pour moi aussi, tout a été dit.
Défilez-vous si vous voulez, reste que les faits me donnent raison aujourd'hui sur les questions de sociétés et me donneront raison sur les questions de design quand la mode sera passée.
On se revoit dans 1-2 ans quand vous serez tous en train de vous demander comment l'on a pu payer des gens pour foutre un slogan sur un fond fushia moche
Modifié par John-Rimbaud (05 Aug 2014 - 17:36)
On se revoit dans 1-2 ans quand vous serez tous en train de vous demander comment l'on a pu payer des gens pour foutre un slogan sur un fond fushia moche
Modifié par John-Rimbaud (05 Aug 2014 - 17:36)
Allez, parce que moi aussi j'aime bien l'art (et Game of Thrones) j'ai tenté de faire un truc artistique pour une fois :
http://f.cl.ly/items/3W1l14370y3H3F3g180O/rimbaud.gif
(Credits where due surtout dans des œuvres collectives, merci Rach pour l'inspiration ^^)
Modifié par Stéphanie W. (05 Aug 2014 - 17:39)
http://f.cl.ly/items/3W1l14370y3H3F3g180O/rimbaud.gif
(Credits where due surtout dans des œuvres collectives, merci Rach pour l'inspiration ^^)
Modifié par Stéphanie W. (05 Aug 2014 - 17:39)
Stéphanie W. a écrit :
http://f.cl.ly/items/3W1l14370y3H3F3g180O/rimbaud.gif
Fabuleux !
C'est le feuilleton de l'été. Plus fort que "Mon curé chez les nudistes" ! 
Un commercial pour donner son avis ?
Après on s'attaque aux fonctionnaires, aux journalistes et aux enseignants…
Bon, en effet, je crois qu'on a touché le fond…
Comme déjà dit, nous sommes tous d'accord sur le fait que les modes et tendances sont toujours discutables et sujettes à controverses. Encore faut-il en être capable, faire preuve d'analyse, de discernement, de curiosité, d'ouverture, de tolérance, de respect, de modestie… Et surtout ne pas tout mélanger et faire des amalgames insultants dignes du café du commerce (ces salauds de cafetiers… on les avait oublié ceux-là ! ^^).
Déjà ne pas confondre modes, tendances et style serait la base.
« La mode s'évapore,
la tendance s'érode…
Seul le style reste. »
(page 2 de mon PDF)
Là ce sujet n'est pas inintéressant de par certains commentaires constructifs et étayés. Même passionnant sur certains points ! Les "provocations" primaires de John ont permis aux autres d'éclaircir certains points. À chacun d'en tirer ses conclusions.
On peut néanmoins constater que pour certains qui ne connaissent rien à nos professions (même s'ils les côtoient et pensent en faire partie), les clichés ont la vie dure. Même si là on est tombé sur une caricature (désolé John, mais il faut grandir…). Pour le reste, ça fait un petit moment que ce fil m'inspire ça :
http://fr.web.img1.acsta.net/rx_640_256/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/96/92/24/20496478.jpg
Modifié par spongebrain (05 Aug 2014 - 20:49)
Stéphanie W. a écrit :
Pourrait-on arrêter de généraliser sur "les graphistes"
_laurent a écrit :
Tout à fait d'accord.
Passons maintenant aux commerciaux !
John-Rimbaud a écrit :
Ah, là on touche le fond du fond de la déchéance humaine.
Un commercial pour donner son avis ?
Après on s'attaque aux fonctionnaires, aux journalistes et aux enseignants…
Bon, en effet, je crois qu'on a touché le fond…
Comme déjà dit, nous sommes tous d'accord sur le fait que les modes et tendances sont toujours discutables et sujettes à controverses. Encore faut-il en être capable, faire preuve d'analyse, de discernement, de curiosité, d'ouverture, de tolérance, de respect, de modestie… Et surtout ne pas tout mélanger et faire des amalgames insultants dignes du café du commerce (ces salauds de cafetiers… on les avait oublié ceux-là ! ^^).
Déjà ne pas confondre modes, tendances et style serait la base.
« La mode s'évapore,
la tendance s'érode…
Seul le style reste. »
(page 2 de mon PDF)
Là ce sujet n'est pas inintéressant de par certains commentaires constructifs et étayés. Même passionnant sur certains points ! Les "provocations" primaires de John ont permis aux autres d'éclaircir certains points. À chacun d'en tirer ses conclusions.
On peut néanmoins constater que pour certains qui ne connaissent rien à nos professions (même s'ils les côtoient et pensent en faire partie), les clichés ont la vie dure. Même si là on est tombé sur une caricature (désolé John, mais il faut grandir…). Pour le reste, ça fait un petit moment que ce fil m'inspire ça :
http://fr.web.img1.acsta.net/rx_640_256/b_1_d6d6d6/medias/nmedia/18/96/92/24/20496478.jpg
Modifié par spongebrain (05 Aug 2014 - 20:49)
Aller à l'encontre de l'opinion de la masse n'est pas du troll, ça s'appelle en général de la réflexion
Oui enfin, je fais de la musique moi hein, pas de la variétoche. Je connais des tas de très bons groupes qui font les plus grands festivals à l'international et qui perdent pourtant de l'argent sur chaque album produit.
Modifié par John-Rimbaud (05 Aug 2014 - 18:38)
a écrit :
Ben prend ta guitare et va faire le tour du monde. J'ai des amis qui le font, et ils vivent très bien. Sans être dans les métiers de la com. Avec un mini van, un groupe de potes et une guitare. C'tout.
Si tu n'arrives pas à vivre de ta musique, c'est que tu es trop attaché à ton confort moderne, ou que tu es mauvais. No pain, no gain!
Oui enfin, je fais de la musique moi hein, pas de la variétoche. Je connais des tas de très bons groupes qui font les plus grands festivals à l'international et qui perdent pourtant de l'argent sur chaque album produit.
Modifié par John-Rimbaud (05 Aug 2014 - 18:38)
Permettez.
Il y a peu de temps de cela, un brave gueux au nom de poète déclama un étrange message sur la place publique d’un petit village de la belle région d’Alsace. Laissez moi, braves gens, vous en conter la merveilleuse histoire, et retenez vos pleurs jusqu’à son funeste dénouement.
Le récit commence en jour pluvieux du mois d’août, comme on en voit rarement, mais qui toujours laissent leur trace dans l’Histoire. Ce fut donc sous une pluie torrentielle que notre jeune homme arriva aux portes du village, avec pour tout bagage ses quelques morceaux de tissu rapiécés et délavés qui tenaient à peine sur son maigre corps.
Il se posa près de la fontaine qui marquait l'entrée du patelin, puis marcha vers une maisonnette qui semblait plus grande que ses voisines, et se présenta. C’était la modeste demeure de Monsieur le Maire, éleveur, agriculteur et homme politique à ses heures perdues, qu’il ne parvenait guère à trouver, trop partagé déjà entre ses poules et son blé. Celui-ci ne lui en offrit pas moins le gîte et le couvert, invitant humblement son hôte à l’aspect étrangement ulysséen de lui dire ce qui l’amenait en un lieu si reculé de l’Alsace.
Après avoir fini son repas jusqu’à la dernère trace de choucroute et jusqu’au dernier morceau de saucisson, l'étrange visiteur posa ses yeux sur l’horloge qui trônait, mal fixée, sur la cheminée.
— Monsieur, j’ai fait un long et difficile chemin pour arriver ici... Car c’est vous que je suis venu voir.
Il n’en fallut pas moins, je vous le dis, pour faire tomber le Maire de sa chaise. Intrigué — que dis-je, intrigué, abasourdi ! —, il ouvrit de grands yeux, comme pour lire sur les traits de son interlocuteur quelque message dissimulé qu’il n’aurait pas remarqué au premier abord. Force fut d’admettre pour notre brave Maire que son attentive observation ne lui révéla rien. Il se décida donc à parler :
— Vous... vous vous trompez certainement de personne. Savez-vous où vous êtes en ce moment ?
Ecartant à peine les lèvres comme si le son s’échappait de lui par magie, il répondit :
— Je le sais bien, je suis dans le petit village d'Alsacréations.
L’inquiétude du Maire allait croissant, lui qui avait reçu en tout et pour tout dix-sept visites depuis qu’il s’était installé dans ce village, dont seize visites de nature animale, et une de nature divine selon ses dires. Il articula exagérément quelques mots qui, braves gens, mis les uns à la suite des autres, ressemblaient vaguement à ceci :
— Oui... e-xa-ctement Alsa-créations ici que vous vou-lez ?
Le regard de l’étranger s’alluma, tel un bûcher ardent, et il prononça ces terribles imprécations :
— Je suis venu t’annoncer, à toi, oui, à toi, et à tous les autres aussi, que tout ce que tu crois, tout ce que tu vois, est mauvais. Mon ami, dans dix jours et dix heures, ton poulailler, ton champ, ta maison, tout — tout ! — sera aplati. Un monde nouveau, un monde terrible naîtra... De l’autre côté de la Manche, j’ai entendu son nom... Ils l’appellent le... le... le flat world.
La suite au prochain épisode.
___________________
Plus sérieusement, je pense que les questions que soulève John-Rimbaud sont des questions valables, mais que c'est sans doute le mauvais endroit, parce que dire à des graphistes et des gens qui travaillent dans la communication que leur métier n'a pas de sens, ce n'est pas la meilleure idée que l'on puisse avoir. Il n'en reste pas moins que certains points qui ont été soulevés ici m'ont semblés intéressants, troll ou pas.
Modifié par Stephanelam (05 Aug 2014 - 18:18)
Il y a peu de temps de cela, un brave gueux au nom de poète déclama un étrange message sur la place publique d’un petit village de la belle région d’Alsace. Laissez moi, braves gens, vous en conter la merveilleuse histoire, et retenez vos pleurs jusqu’à son funeste dénouement.
Le récit commence en jour pluvieux du mois d’août, comme on en voit rarement, mais qui toujours laissent leur trace dans l’Histoire. Ce fut donc sous une pluie torrentielle que notre jeune homme arriva aux portes du village, avec pour tout bagage ses quelques morceaux de tissu rapiécés et délavés qui tenaient à peine sur son maigre corps.
Il se posa près de la fontaine qui marquait l'entrée du patelin, puis marcha vers une maisonnette qui semblait plus grande que ses voisines, et se présenta. C’était la modeste demeure de Monsieur le Maire, éleveur, agriculteur et homme politique à ses heures perdues, qu’il ne parvenait guère à trouver, trop partagé déjà entre ses poules et son blé. Celui-ci ne lui en offrit pas moins le gîte et le couvert, invitant humblement son hôte à l’aspect étrangement ulysséen de lui dire ce qui l’amenait en un lieu si reculé de l’Alsace.
Après avoir fini son repas jusqu’à la dernère trace de choucroute et jusqu’au dernier morceau de saucisson, l'étrange visiteur posa ses yeux sur l’horloge qui trônait, mal fixée, sur la cheminée.
— Monsieur, j’ai fait un long et difficile chemin pour arriver ici... Car c’est vous que je suis venu voir.
Il n’en fallut pas moins, je vous le dis, pour faire tomber le Maire de sa chaise. Intrigué — que dis-je, intrigué, abasourdi ! —, il ouvrit de grands yeux, comme pour lire sur les traits de son interlocuteur quelque message dissimulé qu’il n’aurait pas remarqué au premier abord. Force fut d’admettre pour notre brave Maire que son attentive observation ne lui révéla rien. Il se décida donc à parler :
— Vous... vous vous trompez certainement de personne. Savez-vous où vous êtes en ce moment ?
Ecartant à peine les lèvres comme si le son s’échappait de lui par magie, il répondit :
— Je le sais bien, je suis dans le petit village d'Alsacréations.
L’inquiétude du Maire allait croissant, lui qui avait reçu en tout et pour tout dix-sept visites depuis qu’il s’était installé dans ce village, dont seize visites de nature animale, et une de nature divine selon ses dires. Il articula exagérément quelques mots qui, braves gens, mis les uns à la suite des autres, ressemblaient vaguement à ceci :
— Oui... e-xa-ctement Alsa-créations ici que vous vou-lez ?
Le regard de l’étranger s’alluma, tel un bûcher ardent, et il prononça ces terribles imprécations :
— Je suis venu t’annoncer, à toi, oui, à toi, et à tous les autres aussi, que tout ce que tu crois, tout ce que tu vois, est mauvais. Mon ami, dans dix jours et dix heures, ton poulailler, ton champ, ta maison, tout — tout ! — sera aplati. Un monde nouveau, un monde terrible naîtra... De l’autre côté de la Manche, j’ai entendu son nom... Ils l’appellent le... le... le flat world.
La suite au prochain épisode.
___________________
Plus sérieusement, je pense que les questions que soulève John-Rimbaud sont des questions valables, mais que c'est sans doute le mauvais endroit, parce que dire à des graphistes et des gens qui travaillent dans la communication que leur métier n'a pas de sens, ce n'est pas la meilleure idée que l'on puisse avoir. Il n'en reste pas moins que certains points qui ont été soulevés ici m'ont semblés intéressants, troll ou pas.
Modifié par Stephanelam (05 Aug 2014 - 18:18)
John-Rimbaud a écrit :
Aller à l'encontre de l'opinion de la masse n'est pas du troll, ça s'appelle en général de la réflexion
De la réflexion binaire alors...
La masse n'a pas d'opinion, soit parce qu'i n'y a pas de masse (et ce n'est pas signe de réflexion que d'en voir une, au contraire) soit parce qu'il y a bien trop d'opinions différentes pour qu'une en particulier s'en dégage.
Aller à l'encontre de l'opinion de la masse uniquement parce que c'est l'opinion de la masse, signe de réflexion ? Pour avoir quelle autre opinion ? À la place de "gris", est-ce signe de réflexion que de penser "noir" ou que de penser "blanc" ? Et pour "rond", faudrait-il avoir l'opinion "carré", "dodécaèdre" ou "sphère" ?
7 pages, eh ben... Trop de monde a des journées pas assez occupées
En toute état de cause, nous avons ici à faire avec un agent double illuminati, œuvrant dans l'unique but de faire passer, chez le prolétaire du web, le concept de décroissance pour une préoccupation d'attardé.
Ce qui ma foi est somme-toute complètement vrai, étant donné que le méchant système nous cache (pour rigoler) l'existence des révolutions techniques qui pallieront les pénuries de matières premières prévues pour après-demain.
Cependant, il reste véridique que la philo des sciences fait partie des sciences molles et nous, nous les préférons bien dures. Aussi dur que comprendre la relation évidente entre la philosophie des sciences et la question de notre usage des progrès techniques.
Pour finir et bien que ce soit trop tard, je vous enjoins vivement à ne pas m'avoir lu, l'entreprise communicative diabolique déployée par mes soins démontrant aisément la contradiction de mon propos.
Ai-je été assez clair ??
Joyeuse Pâques.
Ce qui ma foi est somme-toute complètement vrai, étant donné que le méchant système nous cache (pour rigoler) l'existence des révolutions techniques qui pallieront les pénuries de matières premières prévues pour après-demain.
Cependant, il reste véridique que la philo des sciences fait partie des sciences molles et nous, nous les préférons bien dures. Aussi dur que comprendre la relation évidente entre la philosophie des sciences et la question de notre usage des progrès techniques.
Pour finir et bien que ce soit trop tard, je vous enjoins vivement à ne pas m'avoir lu, l'entreprise communicative diabolique déployée par mes soins démontrant aisément la contradiction de mon propos.
Ai-je été assez clair ??
Joyeuse Pâques.
Faisons bref : John Rimbaud déteste le monde professionnel dans lequel il travaille, il déteste les collègues avec qui il travaille, il déteste les gens qu'il croise dans la rue, il déteste ses pairs avec qui il a l'occasion de discuter, il hait la société dans laquelle il vit, et l'état du monde en général.
John Rimbaud est un névrosé lambda, qui trouve sa catharsis dans le mépris automatique et le délire de grandeur bouffi d'orgueil, pour oublier que sa petite vie est une souffrance miséreuse.
John Rimbaud devrait vite aller débuter une petite thérapie, et nous, arrêter de lui répondre.
Et de mon côté, je vais faire encore plus de flat responsive, avec dans mon petit cœur la petite joie mesquine que le vue de mes créations lui filera un bon ulcère
John Rimbaud est un névrosé lambda, qui trouve sa catharsis dans le mépris automatique et le délire de grandeur bouffi d'orgueil, pour oublier que sa petite vie est une souffrance miséreuse.
John Rimbaud devrait vite aller débuter une petite thérapie, et nous, arrêter de lui répondre.
Et de mon côté, je vais faire encore plus de flat responsive, avec dans mon petit cœur la petite joie mesquine que le vue de mes créations lui filera un bon ulcère