Tony Monast a écrit :
À prendre avec humour et je ne vise personne en particulier : il y a un peu d'enculage de mouche dans l'air.
Comme l'aurait suggéré ce candidat des Chiffres et des lettres, à défaut du mot « sodomisateur » (qui, de toute façon, et contrairement au mot « diptères » au pluriel, ne sortira jamais, le tirage ne permettant que de former des mots de 10 lettres maximum, à l'heure actuelle).
Bonsoir à toutes et à tous,
@ fvsch : pour le prestataire, je maintiens ce que je dis aussi. Le dictionnaire admet les deux sens ! Mais moi, je retiens le deuxième sens selon le petit Larousse car c'est comme ça que nous sommes vu par les clients comme des prestataires.
Un contrat pour une mission en régie est fait pour une personne (donc un employé de la SSII) qui sera détaché auprès du client. Je reconnais que c'est une forme de prêt de personnel.
La signature de l'employé n'est pas nécessaire car il est déjà subordonné à la SSII.
La encore tu confonds avec le forfait.
Il n'y a pas de contradiction entre la première phrase et la troisième car le prestataire exerce sa mission pour un client. De ce fait, il est subordonné au client dans le cadre de la mission uniquement.
En dehors de la mission, le client ne peux plus exercer sa subordination car il n'est plus dans un cadre contractuel et de ce fait, le client et la SSII doivent redéfinir le rôle joué par le prestataire.
Et là encore, je constate que tu ne connais pas la régie. D'après tout ce que tu me dis, je crois que tu ne connais que la sous-traitance. Elle peut très bien se faire chez un client.
De plus, et là je te rejoins, beaucoup de clients se servent des SSII pour trouver du personnel dans un laps de temps assez court. On peut considérer que la SSII est une forme d'intérim de haut niveau. C'est une souplesse que les clients aiment beaucoup, car cela ne nécessite pas la lourdeur d'une embauche. Mais ça, c'est un autre sujet.
Je le répète encore une fois, je ne fais pas partie du monde WEB mais du monde informatique gros système. De ce fait, les règles sont différentes.
Bon j'arrête là, car la discussion devient stérile !
@ jmlapam : j'aimerai que tu arrêtes de me dénigrer constamment. Sinon argumente par tes expériences, si tu crois savoir !
En ce qui concerne le développement WEB, tu as certainement plus de chose à m'apprendre.
@ Tony Monast : parfois, il est nécessaire de défoncer des portes ouvertes pour mieux se faire comprendre ! Sinon, je suis d'accord que la divergence est minime. Donc ton image est assez exacte.
@+
Modifié par Artemus24 (25 Oct 2011 - 02:21)
@ fvsch : pour le prestataire, je maintiens ce que je dis aussi. Le dictionnaire admet les deux sens ! Mais moi, je retiens le deuxième sens selon le petit Larousse car c'est comme ça que nous sommes vu par les clients comme des prestataires.
Un contrat pour une mission en régie est fait pour une personne (donc un employé de la SSII) qui sera détaché auprès du client. Je reconnais que c'est une forme de prêt de personnel.
La signature de l'employé n'est pas nécessaire car il est déjà subordonné à la SSII.
La encore tu confonds avec le forfait.
Il n'y a pas de contradiction entre la première phrase et la troisième car le prestataire exerce sa mission pour un client. De ce fait, il est subordonné au client dans le cadre de la mission uniquement.
En dehors de la mission, le client ne peux plus exercer sa subordination car il n'est plus dans un cadre contractuel et de ce fait, le client et la SSII doivent redéfinir le rôle joué par le prestataire.
Et là encore, je constate que tu ne connais pas la régie. D'après tout ce que tu me dis, je crois que tu ne connais que la sous-traitance. Elle peut très bien se faire chez un client.
De plus, et là je te rejoins, beaucoup de clients se servent des SSII pour trouver du personnel dans un laps de temps assez court. On peut considérer que la SSII est une forme d'intérim de haut niveau. C'est une souplesse que les clients aiment beaucoup, car cela ne nécessite pas la lourdeur d'une embauche. Mais ça, c'est un autre sujet.
Je le répète encore une fois, je ne fais pas partie du monde WEB mais du monde informatique gros système. De ce fait, les règles sont différentes.
Bon j'arrête là, car la discussion devient stérile !
@ jmlapam : j'aimerai que tu arrêtes de me dénigrer constamment. Sinon argumente par tes expériences, si tu crois savoir !
En ce qui concerne le développement WEB, tu as certainement plus de chose à m'apprendre.
@ Tony Monast : parfois, il est nécessaire de défoncer des portes ouvertes pour mieux se faire comprendre ! Sinon, je suis d'accord que la divergence est minime. Donc ton image est assez exacte.
@+
Modifié par Artemus24 (25 Oct 2011 - 02:21)
@artemus24: je ne ressens pas le besoin de rentrer dans ton flood. Je ne pratique pas le dénigrement, erreur d'appréciation.
Donc soit les SII ont changé depuis ton expérience, soit ta mémoire flanche. Mon cursus est presque pour moitié consacré aux Telecom donc j'ai l'occasion de voir toute la théorie (cours, projets, conférences), mais aussi de parler régulièrement avec des pros évoluant dans ce secteur.
Pour revenir aux SII, il ne faut pas les diaboliser, lisez bien vos contrats aussi et fuyez si on vous talonne pour signer rapidement, à vous aussi de négocier sans vous laisser impressionner, si vous avez les compétences, la SII n'aura pas 36000 autres choix sur le marché même si elle vous dit le contraire.
La SII permet des missions variées, de quoi se faire un bon carnet d'adresse à condition d'être performant.
Donc soit les SII ont changé depuis ton expérience, soit ta mémoire flanche. Mon cursus est presque pour moitié consacré aux Telecom donc j'ai l'occasion de voir toute la théorie (cours, projets, conférences), mais aussi de parler régulièrement avec des pros évoluant dans ce secteur.
Pour revenir aux SII, il ne faut pas les diaboliser, lisez bien vos contrats aussi et fuyez si on vous talonne pour signer rapidement, à vous aussi de négocier sans vous laisser impressionner, si vous avez les compétences, la SII n'aura pas 36000 autres choix sur le marché même si elle vous dit le contraire.
La SII permet des missions variées, de quoi se faire un bon carnet d'adresse à condition d'être performant.
Oula je pars le week end et je vois que le post est bien chargé
Merci tous pour vos avis,
Je viens vous préciser un peu ce qu'il m'a été dit lors de mon entretien :
La société recrute des auto-entrepreneurs qui viennent travailler dans les locaux (donc sur les machines fournis par l'entreprise, important d'un point de vu juridique je crois), et qui sont payés à l'heure (on m'a dit texto, tu viens tu dis combien d'heure tu as travaillé et on te paye selon)
Donc voilà, ca me paraît trèèès douteux. Donc je pensais dire ok pour auto-entrepreneur mais je travaille chez moi et selon mon taux horaire sinon basta.
Merci tous pour vos avis,
Je viens vous préciser un peu ce qu'il m'a été dit lors de mon entretien :
La société recrute des auto-entrepreneurs qui viennent travailler dans les locaux (donc sur les machines fournis par l'entreprise, important d'un point de vu juridique je crois), et qui sont payés à l'heure (on m'a dit texto, tu viens tu dis combien d'heure tu as travaillé et on te paye selon)
Donc voilà, ca me paraît trèèès douteux. Donc je pensais dire ok pour auto-entrepreneur mais je travaille chez moi et selon mon taux horaire sinon basta.
Artemus24 a écrit :
Un contrat pour une mission en régie est fait pour une personne (donc un employé de la SSII) qui sera détaché auprès du client. Je reconnais que c'est une forme de prêt de personnel.
Prêt de personnel qui, vu que la SSII s'octroie une marge, poursuit un but lucratif, chose qui fait basculer ladite SSII dans l'illégalité si elle ne fait que prêter du personnel, sans rien produire en interne.
Artemus24 a écrit :
De plus, et là je te rejoins, beaucoup de clients se servent des SSII pour trouver du personnel dans un laps de temps assez court. On peut considérer que la SSII est une forme d'intérim de haut niveau. C'est une souplesse que les clients aiment beaucoup, car cela ne nécessite pas la lourdeur d'une embauche. Mais ça, c'est un autre sujet.
Effectivement, les SSII, au départ, répondent à un besoin de souplesse de la part d'entreprises dont l'activité ne justifie pas la présence permanente de personnel informatique, voire d'un département informatique. Mais, malheureusement, il y a beaucoup d'abus.
jmlapam a écrit :
Pour revenir aux SII, il ne faut pas les diaboliser
À bien chercher, on peut tomber sur des SSII correctes. Cependant, bon nombre de gens (y compris ceux qui travaillent dans une SSII) ne feront jamais de publicité pour les SSII.
jmlapam a écrit :
lisez bien vos contrats aussi et fuyez si on vous talonne pour signer rapidement, à vous aussi de négocier sans vous laisser impressionner, si vous avez les compétences, la SII n'aura pas 36000 autres choix sur le marché même si elle vous dit le contraire.
Ce n'est pas valable uniquement pour les SSII : on n'est jamais à l'abri d'une agence ou d'un annonceur final qui tentera un coup tordu.
Fabious a écrit :
Je viens vous préciser un peu ce qu'il m'a été dit lors de mon entretien :
La société recrute des auto-entrepreneurs qui viennent travailler dans les locaux (donc sur les machines fournis par l'entreprise, important d'un point de vu juridique je crois), et qui sont payés à l'heure (on m'a dit texto, tu viens tu dis combien d'heure tu as travaillé et on te paye selon)
En résumé :
1. prestation sur site,
2. utilisation du matériel fourni par l'entreprise (la société tolère-t-elle qu'on travaille avec son propre équipement ?),
3. pas de demande explicite de tarif (tarif horaire imposé ?).
Bref, ça ne sent pas bon.
Fabious a écrit :
Donc je pensais dire ok pour auto-entrepreneur mais je travaille chez moi et selon mon taux horaire sinon basta.
Mieux vaut ne pas perdre de temps et voir ailleurs.
a écrit :
À bien chercher, on peut tomber sur des SSII correctes. Cependant, bon nombre de gens (y compris ceux qui travaillent dans une SSII) ne feront jamais de publicité pour les SSII.
Faut voir le nombre de conférences, cocktails et autres rencontres qui montrent tout à fait le contraire mais je présume que l'on ne se place pas forcément du même point de vue puisque je viens du management.
@fabious: ça sent pas très bon effectivement mais rassure-moi c'est pas uniquement oral, y a une partie écrite, un contrat?
Modifié par jmlapam (25 Oct 2011 - 15:41)
jmlapam a écrit :
je présume que l'on ne se place pas forcément du même point de vue puisque je viens du management.
Du côté des développeurs web quand l'un dit «je bosse en SSII» les autres disent «putain je compatis» et on peut entendre en fond sonore la chanson de Renaud qui dit «allez déconne pas Manu, vas pas t'ouvrir les veines...».
J'exagère à peine.
J'imagine que dans les salons organisés par les SSII pour se faire mousser c'est pas la même réaction, hein. Tiens, ça me rappelle que je voulais lire ce bouquin moi.
Mais au delà des problèmes parfois soulevés au sujet du management en SSII, ou encore du SYNTEC largement décrié, il y a surtout le fait que la culture d'entreprise des SSII et des projets SI est très loin de la culture des projets Web, et que quand on est dans cette branche par passion du Web on a plutôt intérêt à se tenir loin des SSII (ou du moins des grosses machines). Je précise que ce sont les échos que j'ai et pas une expérience personnelle, n'ayant pas bossé moi-même en SSII (et je compte bien ne jamais essayer ).
jmlapam a écrit :
conférences, cocktails et autres rencontres
Tiens c'est déjà trolldÿ? C'est pas tendre le bâton pour se faire battre ça?
fvsch a écrit :
J'imagine que dans les salons organisés par les SSII pour se faire mousser c'est pas la même réaction, hein. Tiens, ça me rappelle que je voulais lire ce bouquin moi.
Ça me rappelle également une présentation en PDF intitulée L'Enculator. C'est peut-être caricatural ; mais, sans doute l'est-ce à peine...
Le PDF oui effectivement, c'est caricatural mais mieux vaut en rire.
Quant à en faire une généralité, pas vraiment. C'est plus un système, des logiques économiques, que la pourriture de celui qui est aux commandes.
Ne pas tomber dans ce bon vieux principe du bouc émissaire.
Modifié par jmlapam (25 Oct 2011 - 19:30)
Quant à en faire une généralité, pas vraiment. C'est plus un système, des logiques économiques, que la pourriture de celui qui est aux commandes.
Ne pas tomber dans ce bon vieux principe du bouc émissaire.
Modifié par jmlapam (25 Oct 2011 - 19:30)
Bonsoir à toutes et à tous,
le PDF n'est pas si caricatural que ça ! Je peux affirmer que je me suis déjà retrouvé dans des situations similaires. On est toujours trop cher, pas assez de compétences, mobilité géographique réduite, trop vieux, ou encore enquiquineur de première car on réclame des formations auxquelles on a droit.
On ne te dis jamais, à combien, à été négocié ta prestation journalière, mais on te fait comprendre que tu coutes trop cher à l'entreprise. On dit que tu fait du mauvais esprit, et que tu n'es pas reconnaissant, car en vérité, tu es un privilégié. Oui, grâce à ton employeur, tu as un travail.
Lorsque tu es en désaccord avec ton commercial, comme par hasard, on te trouve une longue mission à l'autre bout de la France. Et tu n'as pas trente-six solutions : ou bien tu acceptes et bye bye la vie de famille, ou bien tu refuses un ordre de ton supérieur, et alors tu peux commencer à chercher un nouvel emploie.
Désolé de le dire, mais c'est la réalité et il n'y a rien de risible !
@+
Modifié par Artemus24 (25 Oct 2011 - 22:34)
le PDF n'est pas si caricatural que ça ! Je peux affirmer que je me suis déjà retrouvé dans des situations similaires. On est toujours trop cher, pas assez de compétences, mobilité géographique réduite, trop vieux, ou encore enquiquineur de première car on réclame des formations auxquelles on a droit.
On ne te dis jamais, à combien, à été négocié ta prestation journalière, mais on te fait comprendre que tu coutes trop cher à l'entreprise. On dit que tu fait du mauvais esprit, et que tu n'es pas reconnaissant, car en vérité, tu es un privilégié. Oui, grâce à ton employeur, tu as un travail.
Lorsque tu es en désaccord avec ton commercial, comme par hasard, on te trouve une longue mission à l'autre bout de la France. Et tu n'as pas trente-six solutions : ou bien tu acceptes et bye bye la vie de famille, ou bien tu refuses un ordre de ton supérieur, et alors tu peux commencer à chercher un nouvel emploie.
Désolé de le dire, mais c'est la réalité et il n'y a rien de risible !
@+
Modifié par Artemus24 (25 Oct 2011 - 22:34)
@artemus24: faut se détendre un peu là, le ton du PDF prête à rire, on peut rire. Faut arrêter de se prendre au sérieux, cela dit je te crois volontiers et ne suis pas en désaccord du tout, je dis simplement que le boss n'est pas forcément (ce qui ne signifie pas que cela n'existe pas) un cynique froid, il est lui-même sous pression. Un simple maillon de la chaîne.
Ce que je dis est qu'il est facile de se trouver des cibles humaines quand le problème est systémique.
Un simple et modeste point de vue pour relativiser cette charge, quand bien même elle se justifie.
Modifié par jmlapam (26 Oct 2011 - 00:46)
Ce que je dis est qu'il est facile de se trouver des cibles humaines quand le problème est systémique.
Un simple et modeste point de vue pour relativiser cette charge, quand bien même elle se justifie.
Modifié par jmlapam (26 Oct 2011 - 00:46)
Victor BRITO a écrit :
Ça me rappelle également une présentation en PDF intitulée L'Enculator. C'est peut-être caricatural ; mais, sans doute l'est-ce à peine...
J'ai bien rit. Pas si caricatural en effet.
Bonjour à toutes et à tous,
@ jmlapam : tant que cela ne te touche pas directement, tu peux en rire. Mais lorsque tu es dans la tourmente, tu n'apprécies vraiment pas du tout !
A moins que tu aimes rire du malheur des autres. Et bien moi, non !
Si tu veux, on peut aussi débattre des suicides de chez France Télécom ! Ou encore des travailleurs qui se retrouvent sans rien grâce à un patron qui est parti à l'étranger.
Bien sûr, c'est très risible tout cela !
@+
Modifié par Artemus24 (26 Oct 2011 - 13:53)
@ jmlapam : tant que cela ne te touche pas directement, tu peux en rire. Mais lorsque tu es dans la tourmente, tu n'apprécies vraiment pas du tout !
A moins que tu aimes rire du malheur des autres. Et bien moi, non !
Si tu veux, on peut aussi débattre des suicides de chez France Télécom ! Ou encore des travailleurs qui se retrouvent sans rien grâce à un patron qui est parti à l'étranger.
Bien sûr, c'est très risible tout cela !
@+
Modifié par Artemus24 (26 Oct 2011 - 13:53)
<hs>@Artemus24: morale à 2 balles
Je flood pas plus, ça tourne en rond avec toi </hs>
@fvsch: j'ai lu quelques passage du livre en ebook, assez édifiant ! Seulement c'est totalement à charges ! Comparer la situation des ingénieurs en informatique à celle des ouvriers à la chaîne, personnellement cela me fait bondir. Assimiler tous les patrons aux grands pontes du CAC, le genre de raccourcis que j'entends au bistrot du coin (même si les bistrots c'est très bien).
Merise: l'arme de destruction massive, eh, c'est une juste une méthode de gestion de projet.
Non franchement, c'est beaucoup trop caricatural et biaisé pour être pris pour objectif.
Je flood pas plus, ça tourne en rond avec toi </hs>
@fvsch: j'ai lu quelques passage du livre en ebook, assez édifiant ! Seulement c'est totalement à charges ! Comparer la situation des ingénieurs en informatique à celle des ouvriers à la chaîne, personnellement cela me fait bondir. Assimiler tous les patrons aux grands pontes du CAC, le genre de raccourcis que j'entends au bistrot du coin (même si les bistrots c'est très bien).
Merise: l'arme de destruction massive, eh, c'est une juste une méthode de gestion de projet.
Non franchement, c'est beaucoup trop caricatural et biaisé pour être pris pour objectif.
Bonsoir à toutes et à tous,
@ jmlapam : la méthode Merise est une méthode d'analyse, de conception et de réalisation d'un projet. En aucune façon merise est une méthode de conduite ou de gestion de projet.
Arme de destruction massive ? Et puis quoi encore.
C'est une méthodologie développée par les fondateurs de Sema group et ne fut pas si répandu que cela dans le monde informatique français.
@+
@ jmlapam : la méthode Merise est une méthode d'analyse, de conception et de réalisation d'un projet. En aucune façon merise est une méthode de conduite ou de gestion de projet.
Arme de destruction massive ? Et puis quoi encore.
C'est une méthodologie développée par les fondateurs de Sema group et ne fut pas si répandu que cela dans le monde informatique français.
@+