Salut ... de retour...
p12:
C'est la méthode courte dit?
Plus sérieusement...
<critique> La partie concernant les sélecteurs manque d'un petit quelquechose à mon sens... Je pense tout particulièrement à ce type de syntaxe:
Pour les autres, je conçoie leur omission vu que tu m'a précisé qu'ils faisaient dériver l'esprit donné au livre.
<petites fleurs> M'enfin, actuellement à la page 85, je constate jusqu'alors une pédagogie sans faille qui n'est pas pour me déplaire... C'est une chose rarissime dans la littérature informatique pour ne pas dire quasi inexistante... Et rien que pour çà, je le considère comme faisant parti des incontournables... </petites fleurs>
@+
PS: Docteur, vous m'avez fait remarquer la classite aigüe dont souffre mon réservoir à gloomiths... Un petit traitement s'impose...
Modifié par koala64 (29 Jun 2005 - 21:07)
p12:
a écrit :
Cette nouvelle mode apporte fatalement son lot de fanatisme,...
C'est la méthode courte dit?
Plus sérieusement...
<critique> La partie concernant les sélecteurs manque d'un petit quelquechose à mon sens... Je pense tout particulièrement à ce type de syntaxe:
* { margin: 0; padding: 0; }
... qui, sauf erreur de ma part, entre bien dans le cadre des standards, non? </critique>Pour les autres, je conçoie leur omission vu que tu m'a précisé qu'ils faisaient dériver l'esprit donné au livre.
<petites fleurs> M'enfin, actuellement à la page 85, je constate jusqu'alors une pédagogie sans faille qui n'est pas pour me déplaire... C'est une chose rarissime dans la littérature informatique pour ne pas dire quasi inexistante... Et rien que pour çà, je le considère comme faisant parti des incontournables... </petites fleurs>
@+
PS: Docteur, vous m'avez fait remarquer la classite aigüe dont souffre mon réservoir à gloomiths... Un petit traitement s'impose...
Modifié par koala64 (29 Jun 2005 - 21:07)
Sur demande de Raphael, je copie ici mon post http://forum.salemioche.net/ftopic1743.php
Modifié par salemioche (30 Jun 2005 - 11:20)
a écrit :
recu ce matin.
alors, d'abord pour taquiner, au bout de 3min j'ai trouver une petite erreur, un copier coller malencontreux sans doute
j'aime bien les deux citations a salemioche.net
et pour etre un peu plus serieux :
- pas de surprise, c'est du très bon
- très pratique, il explique les problemes de compatibilité entre navigateur que l'on risque de rencontrer lors de la création et fournit les solutions lorsqu'elles existent
- les tableaux recapitulatifs des supports des differents standards par les navigateurs a la fin est excellent
- le style est fluide (sic) et la lecture aisée.
- definitivement orienté standard et accessibilité
- la forme est très pédagogique
- le contenu présente les concepts et la philosophie plutot que l'exhaustivité mais les problemes classiques sont abordés
pour reprendre une vieille pub :
' dites môssieur Goetter, vous pourriez pas les faire plus longs vos livres'
Pour la version 2 :
- des exemples pour toutes les propriétés avec le comportement, l'usage et les pieges à eviter
- quelques recettes de cuisines supplementaires
- une mise en page un plus riche pour que les connaisseurs puissent accéder directement aux trucs et astuces du maitre sans tout lire
en survolant rapidement l'oeuvre pendant 20 min, j'ai quand eu le temps d'apprendre 2/3 astuces
plus qu'une chose a faire, direction Amazon (ce matin il n'y avait deja plus que 3 exemplaires en stock et ce soir c'est en reapprovisionnement)
Modifié par salemioche (30 Jun 2005 - 11:20)
Au fait, connaissez-vous le site www.critiquesdelivres.com ?
Je viens de le découvrir et ... oh surprise, on peut y critiquer "CSS2" :
http://www.critiquesdelivres.com/2212115709
A vos marques, prêts...
Je viens de le découvrir et ... oh surprise, on peut y critiquer "CSS2" :
http://www.critiquesdelivres.com/2212115709
A vos marques, prêts...
La critique que j'ai faites sur le site d'Eyrolles
Modifié par TriadPtale (03 Jul 2005 - 17:00)
a écrit :
Utilité du commentaire : 42 internautes (sur 42) ont trouvé ce commentaire utile
Modifié par TriadPtale (03 Jul 2005 - 17:00)
Mon opinion est sur http://www.amazon.fr, visible d'ici quelques jours.
Compliments,
j'ai reçu hier matin l'ouvrage attendu. Je ne l'ai pas fini faute de temps, mais j'en ai quand même fait un tour rapide.
J'ai malgré tout un regret. Il n'est question essentiellement que des styles destinés à l'affichage sur écran. Les styles destinés à l'impression ou aux autres médias font cruellement défaut. Peut-être pour la prochaine édition ?
Quoiqu'il en soit, j'ai apprécié en particulier l'exposé sur le véritable rôle du (X)HTML et de la sémantique pour la dissocier de la présentation, chose que je ne me souviens pas d'avoir vu ailleurs de façon aussi simple. Ça ouvre des perspectives nouvelles quant à ma manière de structurer un contenu et à en concevoir la mise en page.
Bonne continuation
j'ai reçu hier matin l'ouvrage attendu. Je ne l'ai pas fini faute de temps, mais j'en ai quand même fait un tour rapide.
J'ai malgré tout un regret. Il n'est question essentiellement que des styles destinés à l'affichage sur écran. Les styles destinés à l'impression ou aux autres médias font cruellement défaut. Peut-être pour la prochaine édition ?
Quoiqu'il en soit, j'ai apprécié en particulier l'exposé sur le véritable rôle du (X)HTML et de la sémantique pour la dissocier de la présentation, chose que je ne me souviens pas d'avoir vu ailleurs de façon aussi simple. Ça ouvre des perspectives nouvelles quant à ma manière de structurer un contenu et à en concevoir la mise en page.
Bonne continuation
Vous trouverez mon retour de lecture ici: http://www.alsacreations.com/livre/?/Erratas/
(pp. 7, 10, 11, 13, 28, 36, 64, 66, 68, 73x2, 80, 91, 98, 101, 107, 137, 141, 147, 148, 162, 200, 210, 212, 235
pour en majorité des coquilles et autres fautes d'orthographe vénielles vu les 320 pages du bouquin et le sprint final! )
Mis à part cela, c'est je trouve un excellent livre pour qui a déjà mis les mains dans le code source d'une page, en a été peu satisfait et souhaite dorénavant faire les choses correctement (utiliser les standards, de façon pragmatique) mais n'a pas 2 ou 6 mois devant lui pour éplucher tous les cours et tutos du web où nécessairement tout est fractionné. Là, il y a un début, une progression et un projet final. Avant la lecture, vous vous y connaissez un tout petit peu, après vous êtes armé pour concevoir un 1er site complet, valide et sémantique. Avec un bon bagage, il est ensuite plus simple d'aller chercher sur le Net les connaissances et infos qui vont plus loin et qui manquent: JS ou PHP pour certains, encore plus d'accessibilité, media print ou hacks pour d'autres, mais ça cela vient après quand on a assimilé la syntaxe, le positionnement, la mise en forme, ...
Modifié par Felipe (06 Jul 2005 - 22:23)
(pp. 7, 10, 11, 13, 28, 36, 64, 66, 68, 73x2, 80, 91, 98, 101, 107, 137, 141, 147, 148, 162, 200, 210, 212, 235
pour en majorité des coquilles et autres fautes d'orthographe vénielles vu les 320 pages du bouquin et le sprint final! )
Mis à part cela, c'est je trouve un excellent livre pour qui a déjà mis les mains dans le code source d'une page, en a été peu satisfait et souhaite dorénavant faire les choses correctement (utiliser les standards, de façon pragmatique) mais n'a pas 2 ou 6 mois devant lui pour éplucher tous les cours et tutos du web où nécessairement tout est fractionné. Là, il y a un début, une progression et un projet final. Avant la lecture, vous vous y connaissez un tout petit peu, après vous êtes armé pour concevoir un 1er site complet, valide et sémantique. Avec un bon bagage, il est ensuite plus simple d'aller chercher sur le Net les connaissances et infos qui vont plus loin et qui manquent: JS ou PHP pour certains, encore plus d'accessibilité, media print ou hacks pour d'autres, mais ça cela vient après quand on a assimilé la syntaxe, le positionnement, la mise en forme, ...
Modifié par Felipe (06 Jul 2005 - 22:23)
Merci Felipe pour ces heures passées à traquer les fautes de frappes !!
En passant, voici un commentaire que j'ai beaucoup apprécié sur le site d'Eyrolles :
Les autres sont très sympathiques aussi
Modifié par Raphael (07 Jul 2005 - 14:16)
En passant, voici un commentaire que j'ai beaucoup apprécié sur le site d'Eyrolles :
a écrit :
Webmaster ayant trop utilisé les éditeurs HTML sans connaitre le code, voulant faire un site conforme aux normes du W3C et accessible, je devais utiliser les CSS. Ce livre correspond totalement à mes attentes de débutant afin de comprendre la mise en oeuvre des feuilles de styles. Avant d'avoir terminé le livre, je me demande pourquoi je n'ai jamais utilisé les CSS, tout y est clairement expliqué et abordé.
Les autres sont très sympathiques aussi
Modifié par Raphael (07 Jul 2005 - 14:16)
Bonsoir,
un petit message pour dire que je ne regrette pas d’avoir investit quelques siouxxxx dans cet ouvrage
Il me permet d’avoir à la portée de la main un capital d’informations fort intéressent me servant un peu comme une trousse de premier secours. Il m'a aider aussi à éclairsir certain point.
Je ne regrette pas mon achat, en plus il fait jolie à coté de ceux de Mr Meyer
un petit message pour dire que je ne regrette pas d’avoir investit quelques siouxxxx dans cet ouvrage
Il me permet d’avoir à la portée de la main un capital d’informations fort intéressent me servant un peu comme une trousse de premier secours. Il m'a aider aussi à éclairsir certain point.
Je ne regrette pas mon achat, en plus il fait jolie à coté de ceux de Mr Meyer
Hello,
Je viens de terminer le livre qui est vraiment très intéressant et bien fait.
J'ai pas mal appris et compte l'appliquer dans mon prochain site en html.
Il m'a complètement convaincu sur l'utilisation des normes.
Cependant, deux critiques me viennent à l'esprit maintenant :
- je trouve que la notation courte pour la description des attributs de classe n'aurait pas du être utilisée tout au long du livre.
Mentionner qu'elle éxiste aurait suffit. Libre au lecteur de l'utiliser par la suite. J'admet que ça raccourcit incontestablement le code et du coup le facilite, mais à chaque fois que je rencontrai une notation raccourcie dans le livre, je ne savais pas à quoi correspondaient certains "0" ou autres valeurs.
je n'ai pas gardé en tête l'ordre dans lequel doivent apparaitre les valeurs, encore une fois, le mentionner une fois aurait suffit mais pas l'appliquer dans ce livre.
C'est un peu comme à un bébé à qui on apprends à courir avant de lui apprendre à marcher en faisant un pas devant l'autre.
- d'autres part, un grand nombre de personnes utilisentdes editeurs HTML tels que Dreamweaver.
Cet ouvrage n'est certes pas un livre sur Dreamweaver, mais je pense qu'un petit développement n'aurait pas été inutile sur l'application de ces normes en utilisant un editeur tel que Dreamweaver. En effet, ce dernier est sensé utiliser les normes, mais la mise en forme sous forme de tableau fait quand même partie d'une de ses caractéristiques.
En plus si on regarde certains tutoriaux (je pense notamment à l'ouvrage "DREAMWEAVER MX 2004" de Macromedia), ils utilisent les balises <MAP> et <AREA> pour les lien, une solution parmi d'autres...
En résumé, quand j'ai lu le bouquin CSS2, j'aurai plutôt tendance à utiliser le bloc-note que Dreamweaver pour développer un site HTML conforme aux normes.
Peut-être est-ce aussi l'objectif du livre, mais je trouve ça un peu dommage pour celles et ceux qui utilisent régulièrement Dreamweaver et qui se disent "ouais, les normes c'est sympas, mais je préfère utiliser les bons vieux tableaux sous Dreamweaver pour la mise en forme..."
++
Je viens de terminer le livre qui est vraiment très intéressant et bien fait.
J'ai pas mal appris et compte l'appliquer dans mon prochain site en html.
Il m'a complètement convaincu sur l'utilisation des normes.
Cependant, deux critiques me viennent à l'esprit maintenant :
- je trouve que la notation courte pour la description des attributs de classe n'aurait pas du être utilisée tout au long du livre.
Mentionner qu'elle éxiste aurait suffit. Libre au lecteur de l'utiliser par la suite. J'admet que ça raccourcit incontestablement le code et du coup le facilite, mais à chaque fois que je rencontrai une notation raccourcie dans le livre, je ne savais pas à quoi correspondaient certains "0" ou autres valeurs.
je n'ai pas gardé en tête l'ordre dans lequel doivent apparaitre les valeurs, encore une fois, le mentionner une fois aurait suffit mais pas l'appliquer dans ce livre.
C'est un peu comme à un bébé à qui on apprends à courir avant de lui apprendre à marcher en faisant un pas devant l'autre.
- d'autres part, un grand nombre de personnes utilisentdes editeurs HTML tels que Dreamweaver.
Cet ouvrage n'est certes pas un livre sur Dreamweaver, mais je pense qu'un petit développement n'aurait pas été inutile sur l'application de ces normes en utilisant un editeur tel que Dreamweaver. En effet, ce dernier est sensé utiliser les normes, mais la mise en forme sous forme de tableau fait quand même partie d'une de ses caractéristiques.
En plus si on regarde certains tutoriaux (je pense notamment à l'ouvrage "DREAMWEAVER MX 2004" de Macromedia), ils utilisent les balises <MAP> et <AREA> pour les lien, une solution parmi d'autres...
En résumé, quand j'ai lu le bouquin CSS2, j'aurai plutôt tendance à utiliser le bloc-note que Dreamweaver pour développer un site HTML conforme aux normes.
Peut-être est-ce aussi l'objectif du livre, mais je trouve ça un peu dommage pour celles et ceux qui utilisent régulièrement Dreamweaver et qui se disent "ouais, les normes c'est sympas, mais je préfère utiliser les bons vieux tableaux sous Dreamweaver pour la mise en forme..."
++
bonjour,
ça y est je l'ai fini , ca faisait longtemps que je n'avais pas lu un livre dis donc
celui là parlait d'informatique alors ca passionne plus que des trucs scolaires
pour un retour de lecture :
Je me suis régalé à le lire, c'est bien écrit , c'est clair et net.
Je comprends mieux certaines choses maintenant et j'ai appris quelques petites astuces.
Bravo à Raphaël
ça y est je l'ai fini , ca faisait longtemps que je n'avais pas lu un livre dis donc
celui là parlait d'informatique alors ca passionne plus que des trucs scolaires
pour un retour de lecture :
Je me suis régalé à le lire, c'est bien écrit , c'est clair et net.
Je comprends mieux certaines choses maintenant et j'ai appris quelques petites astuces.
Bravo à Raphaël
Bonjour,
Ca y est, j'ai eu le bouquin (enfin!), je l'ai lu (re-enfin!), je l'ai apprécié (au sens propre ), je l'ai aimé.
Un livre clair, simple, qui va droit au but, par ailleurs clairement défini.
Même s'il a fallu procéder à quelques contorsions de tournure à chaque fois que des problèmes de compatibilité avec le navigateur dominant étaient à signaler, dans l'ensemble ces contorsions n'adoptaient pas un ton polémique que l'on aurait pu craindre, et qui aurait pu faire fuir certains lecteurs.
J'ai quelques remarques sur le contenu du livre, et sur certaines formulation, mais cela devrait faire l'objet d'articles séparés.
J'aime les livres et les articles qui me font réfléchir. Cet ouvrage m'a permis de remettre à plat certaines de mes connaissances et remplacera avantageusement quelques collections de liens éparses sur des techniques CSS que je devais à chaque fois auparavant redécouvrir.
Plus important, il m'a permis de remettre en question certaines de mes certitudes (que je savais de toutes manières temporaires ).
J'aurais toutefois apprécié quelques mots sur JavaScript et ses techniques modernes d'implémentation. Il me semble qu'un chapitre sur le sujet, récapitulant quelques recommandations et bonnes pratiques, n'aurait pas dépareillé. Mais il est vrai que le titre du livre ("CSS2") ne le concernait pas (au contraire de son sous-titre).
Dans l'ensemble toutefois, et sans conteste de ma part, un livre dont je recommanderai avec plaisir la lecture sérieuse à tout développeur débutant, mais aussi expérimenté... à commencer par mes étudiants!
Modifié par Gilles (29 Jul 2005 - 11:40)
Ca y est, j'ai eu le bouquin (enfin!), je l'ai lu (re-enfin!), je l'ai apprécié (au sens propre ), je l'ai aimé.
Un livre clair, simple, qui va droit au but, par ailleurs clairement défini.
Même s'il a fallu procéder à quelques contorsions de tournure à chaque fois que des problèmes de compatibilité avec le navigateur dominant étaient à signaler, dans l'ensemble ces contorsions n'adoptaient pas un ton polémique que l'on aurait pu craindre, et qui aurait pu faire fuir certains lecteurs.
J'ai quelques remarques sur le contenu du livre, et sur certaines formulation, mais cela devrait faire l'objet d'articles séparés.
J'aime les livres et les articles qui me font réfléchir. Cet ouvrage m'a permis de remettre à plat certaines de mes connaissances et remplacera avantageusement quelques collections de liens éparses sur des techniques CSS que je devais à chaque fois auparavant redécouvrir.
Plus important, il m'a permis de remettre en question certaines de mes certitudes (que je savais de toutes manières temporaires ).
J'aurais toutefois apprécié quelques mots sur JavaScript et ses techniques modernes d'implémentation. Il me semble qu'un chapitre sur le sujet, récapitulant quelques recommandations et bonnes pratiques, n'aurait pas dépareillé. Mais il est vrai que le titre du livre ("CSS2") ne le concernait pas (au contraire de son sous-titre).
Dans l'ensemble toutefois, et sans conteste de ma part, un livre dont je recommanderai avec plaisir la lecture sérieuse à tout développeur débutant, mais aussi expérimenté... à commencer par mes étudiants!
Modifié par Gilles (29 Jul 2005 - 11:40)
ça fait maintenant une semaine que le bouquin est arrivé chez moi et je les déjà fini, je penses que les relecture vont être nombreuses vu qu'il est super agréable à lire!!
Je l'avais acheté les yeux fermé connaissant alsacreation et la qualité des articles de Raphaël depuis longtemps et je suis vraiment pas déçu!!
ça faisait quelques temps que je me mettais petit à petit aux nouvelles normes du web et la lecture de ce livre fût pour moi la dernière étape pour bannir ces vieilles habitudes de mise en page en tableau.
merci Raphaël
Je l'avais acheté les yeux fermé connaissant alsacreation et la qualité des articles de Raphaël depuis longtemps et je suis vraiment pas déçu!!
ça faisait quelques temps que je me mettais petit à petit aux nouvelles normes du web et la lecture de ce livre fût pour moi la dernière étape pour bannir ces vieilles habitudes de mise en page en tableau.
merci Raphaël
J'espère que je post au bon endroit....
Après avoir lu une bonne partie du site et fouillé ici et là dans le forum, je pense que l'étape suivante est: l'achat du livre.
Je suis belge, j'ai fait quelques grosses librairies mais il n'était jamais en rayon.
j'aurai pu le commander, mais autant le faire alors en ligne je trouve.
Mon problème.. tout les sites que j'ai trouvé sont français et les frais de livraison pour la Belgique montent à plus de 7€.
Je voulais savoir si vous ne connaissez pas un site Belge qui le vends aussi, Ce serait pour moi bien moins cher.
merci d'avance.
Après avoir lu une bonne partie du site et fouillé ici et là dans le forum, je pense que l'étape suivante est: l'achat du livre.
Je suis belge, j'ai fait quelques grosses librairies mais il n'était jamais en rayon.
j'aurai pu le commander, mais autant le faire alors en ligne je trouve.
Mon problème.. tout les sites que j'ai trouvé sont français et les frais de livraison pour la Belgique montent à plus de 7€.
Je voulais savoir si vous ne connaissez pas un site Belge qui le vends aussi, Ce serait pour moi bien moins cher.
merci d'avance.
Bonjour,
Je prends quelques minutes pour donner une opinion sur un sujet "trop survolé" à mon goût.
J'ai une critique à observer concernant le passage que vous destinez aux formats images du web. Je sais que ce n'est pas là votre spécialité, mais je pense que mon opinion vous intéressera à ce sujet (ce sera d'ailleurs et surtout profitable à tous les webmestres, et également à leurs visiteurs).
En parlant du format GIF :
Or, admettons qu'une image ait besoin de 1000 couleurs pour être fidèlement restituée. Si vous l'enregistrez au format GIF, la restitution graphique de l'image en sera inévitablement dégradée puisque la palette disponible n'est que de 256 couleurs. Cela vous l'avez spécifié.
Maintenant, si vous enregistrez cette même image au format PNG, l'encodage logiciel va automatiquement déterminer une palette de couleurs supérieure à 256 couleurs, et va donc enregistrer l'image en mode "truecolor" et non avec une palette de couleurs fixes.
Il en résulte, comme vous pouvez l'imaginer, une image à la restitution identique à la version originale (contrairement au GIF), mais au poids légèrement supérieur.
Prenons donc exemple de votre logo. Au format GIF, il occupe donc 17 349 octets d'espace. Lorsque vous avez travaillé la version originale, celle ci était à un format non déterminé, en "truecolor".
Vous avez probablement testé un enregistrement au format PNG, qui lui a été enregistré en "truecolor", puis un enregistrement en GIF qui lui, a été enregistré en "paletted". A la différence de poids évidente, vous en avez déduit que le GIF était "meilleur".
Cependant ça n'est pas le cas. Si le GIF propose une restitution quasi-identique à la version originale, c'est tout simplement parce qu'il est difficile pour l'oeil humain de faire la différence entre cette version originale et la version GIF. Pourquoi ? Parce que cette image n'a pas besoin de plus de 256 couleurs pour être restituée (assez) fidèlement.
Voici des images PNG (non optimisées), avec une restitution graphique identique à votre image GIF, mais qui occupe cette fois 12 961 octets. Et en voici une autre, légèrement détériorée (cela sera difficile à voir à l'oeil humain, sans effectuer de zoom) qui elle n'occupe que 9 449 octets. De la même manière, il est également possible de réduire la taille de votre image GIF, néanmoins sans atteindre le taux de compression du format PNG.
Et donc, en parlant du format PNG :
Les captures d'écran réalisées au format GIF (et pire, au format JPEG) n'ont par exemple pas grand chose à faire, selon moi, sur le web. Elle ne font qu'occuper un espace supplémentaire (souvent 50 % en plus) qu'une image PNG lorsqu'elle est optimisée.
Le GIF conviendra pour les images disposant d'une faible résolution, avec peu de couleurs, et sera dans ce cas, et dans ce cas unique, plus intéressant que le PNG.
Si, comme vous l'affirmez, vous arrivez à obtenir de meilleurs résultats avec un équivalent GIF (prenons pour défi le logo de Alsacréations ), je n'attends que votre réponse (ou d'autres réponses éventuelles).
Je prends quelques minutes pour donner une opinion sur un sujet "trop survolé" à mon goût.
J'ai une critique à observer concernant le passage que vous destinez aux formats images du web. Je sais que ce n'est pas là votre spécialité, mais je pense que mon opinion vous intéressera à ce sujet (ce sera d'ailleurs et surtout profitable à tous les webmestres, et également à leurs visiteurs).
En parlant du format GIF :
a écrit :Lorsque vous parlez de format de compression sans pertes, vous faites erreur. Par défaut logiciel, le format GIF propose une palette de 256 couleurs, et d'ailleurs il ne supporte que cette méthode d'encodage (le GIF propose le mode "paletted"; pas de "truecolor", ou "grayscale").
"format de compression sans pertes" ... "c'est le format le plus adapté aux logos et aux images simples"
Or, admettons qu'une image ait besoin de 1000 couleurs pour être fidèlement restituée. Si vous l'enregistrez au format GIF, la restitution graphique de l'image en sera inévitablement dégradée puisque la palette disponible n'est que de 256 couleurs. Cela vous l'avez spécifié.
Maintenant, si vous enregistrez cette même image au format PNG, l'encodage logiciel va automatiquement déterminer une palette de couleurs supérieure à 256 couleurs, et va donc enregistrer l'image en mode "truecolor" et non avec une palette de couleurs fixes.
Il en résulte, comme vous pouvez l'imaginer, une image à la restitution identique à la version originale (contrairement au GIF), mais au poids légèrement supérieur.
Prenons donc exemple de votre logo. Au format GIF, il occupe donc 17 349 octets d'espace. Lorsque vous avez travaillé la version originale, celle ci était à un format non déterminé, en "truecolor".
Vous avez probablement testé un enregistrement au format PNG, qui lui a été enregistré en "truecolor", puis un enregistrement en GIF qui lui, a été enregistré en "paletted". A la différence de poids évidente, vous en avez déduit que le GIF était "meilleur".
Cependant ça n'est pas le cas. Si le GIF propose une restitution quasi-identique à la version originale, c'est tout simplement parce qu'il est difficile pour l'oeil humain de faire la différence entre cette version originale et la version GIF. Pourquoi ? Parce que cette image n'a pas besoin de plus de 256 couleurs pour être restituée (assez) fidèlement.
Voici des images PNG (non optimisées), avec une restitution graphique identique à votre image GIF, mais qui occupe cette fois 12 961 octets. Et en voici une autre, légèrement détériorée (cela sera difficile à voir à l'oeil humain, sans effectuer de zoom) qui elle n'occupe que 9 449 octets. De la même manière, il est également possible de réduire la taille de votre image GIF, néanmoins sans atteindre le taux de compression du format PNG.
Et donc, en parlant du format PNG :
a écrit :Je viens de vous prouver l'inverse, et je peux ajouter que cela dépend de divers facteurs (résolution, couleurs etc.). Le JPEG sera effectivement adapté pour les photographies, mais certainement pas pour les captures d'écran par exemple.
"ils produisent souvent une image un peu plus lourde que ces autres formats"
Les captures d'écran réalisées au format GIF (et pire, au format JPEG) n'ont par exemple pas grand chose à faire, selon moi, sur le web. Elle ne font qu'occuper un espace supplémentaire (souvent 50 % en plus) qu'une image PNG lorsqu'elle est optimisée.
Le GIF conviendra pour les images disposant d'une faible résolution, avec peu de couleurs, et sera dans ce cas, et dans ce cas unique, plus intéressant que le PNG.
Si, comme vous l'affirmez, vous arrivez à obtenir de meilleurs résultats avec un équivalent GIF (prenons pour défi le logo de Alsacréations ), je n'attends que votre réponse (ou d'autres réponses éventuelles).
Merci pour cette lecture intéressante.
J'y ai appris des choses, même si j'ai souvent une préférence pour le format PNG
Pour ce qui est du "défi logo", je vais avoir du mal à jouer... tout simplement parce que cet habillage du forum n'est pas de mon crû mais de Jb_gfx !
Voir ce récapitulatif des skins : http://forum.alsacreations.com/topic.php?fid=9&tid=267&s=
J'y ai appris des choses, même si j'ai souvent une préférence pour le format PNG
Pour ce qui est du "défi logo", je vais avoir du mal à jouer... tout simplement parce que cet habillage du forum n'est pas de mon crû mais de Jb_gfx !
Voir ce récapitulatif des skins : http://forum.alsacreations.com/topic.php?fid=9&tid=267&s=
Un bon point de départ pour s'initier au choix entre les différents formats d'images : Design : Format des images pour le web
J'ai lu l'article sur l'introduction au format d'images sur le web. J'ajouterai simplement que les notions PNG24 ou PNG8 restent trop superflues pour un article qui se voudrait un peu plus exhaustif.
Ces PNG8 sont trop souvent recensés sur le web comme la plus haute teneur en compression, alors que ... ce n'est pas le cas. Cela dépend de l'image elle même. Pour ceux qui souhaitent approfondir un peu plus, sans rentrer dans le détail :
PNG24 : Le 24 signifie qu'un pixel de l'image est encodée sous 24 bits de données, et que la palette de couleurs est définie à plus 16 millions de variantes. C'est une méthode d'enregistrement dite "truecolor", car avec un telle palette, l'on peut afficher tout type d'image (photos, capture d'écran etc.)
PNG8 : Le 8, c'est également 8 bits par pixel, et la palette de couleurs est cette fois limitée à 256 couleurs. C'est la méthode d'enregistrement dite "paletted". Bien évidemment, moins il y'a de bits nécessaire à l'encodage, plus le poids de l'image se réduit...
Mais prenons maintenant un exemple d'une image qui n'a pas besoin de 256 variantes; il est également possible de réduire encore cette palette de couleurs, et par la même occasion de réduire considérablement le poids de l'image, sans en altérer sa qualité.
Optimiser correctement une image PNG c'est donc, dans un premier temps, réduire la palette selon le nombre de couleurs dont elle a besoin pour être restituée. Si ces deux valeurs coïncident, l'on obtient une optimisation qualité/poids (sans rentrer dans le détail des méthodes d'encodage différentes, qui peuvent "grappiller" quand même quelques milliers d'octets.).
Cette méthode d'optimisation est néanmoins difficile et longue à mettre en oeuvre.
On peut également accepter certains points de dégradation de l'image, et réduire son poids, sans pour autant la rendre complètement illisible. En clair, les possibilités de compression du PNG sont largement sous-exploitées, car hélas méconnues sur le web.
Pour reprendre un exemple cité dans un test de l'article donné par Laurent Denis :
1. Image originale de 256 couleurs - 20 646 octets
2. Méthode d'encodage différente, mais qualité identique 256 couleurs - 17 844 octets
3. Image volontairement "dégradée" de 96 couleurs - 14 146 octets
etc.
Pour les intéressés, le navigateur Opera à la possibilité d'identifier l'encodage d'une image simplement et de le restituer à l'utilisateur, en affichant simplement la propriétés de l'image (Profondeur x bits/pixels).
Certaines images, disposant de peu de couleurs (4 par exemple) peuvent être encodées sous 2 bits (PNG2), et atteindre des proportions minimalistes très intéressantes pour tout le monde (trafic limité par l'hébergeur pour les webmestres, chargement accru pour les visiteurs).
Ces PNG8 sont trop souvent recensés sur le web comme la plus haute teneur en compression, alors que ... ce n'est pas le cas. Cela dépend de l'image elle même. Pour ceux qui souhaitent approfondir un peu plus, sans rentrer dans le détail :
PNG24 : Le 24 signifie qu'un pixel de l'image est encodée sous 24 bits de données, et que la palette de couleurs est définie à plus 16 millions de variantes. C'est une méthode d'enregistrement dite "truecolor", car avec un telle palette, l'on peut afficher tout type d'image (photos, capture d'écran etc.)
PNG8 : Le 8, c'est également 8 bits par pixel, et la palette de couleurs est cette fois limitée à 256 couleurs. C'est la méthode d'enregistrement dite "paletted". Bien évidemment, moins il y'a de bits nécessaire à l'encodage, plus le poids de l'image se réduit...
Mais prenons maintenant un exemple d'une image qui n'a pas besoin de 256 variantes; il est également possible de réduire encore cette palette de couleurs, et par la même occasion de réduire considérablement le poids de l'image, sans en altérer sa qualité.
Optimiser correctement une image PNG c'est donc, dans un premier temps, réduire la palette selon le nombre de couleurs dont elle a besoin pour être restituée. Si ces deux valeurs coïncident, l'on obtient une optimisation qualité/poids (sans rentrer dans le détail des méthodes d'encodage différentes, qui peuvent "grappiller" quand même quelques milliers d'octets.).
Cette méthode d'optimisation est néanmoins difficile et longue à mettre en oeuvre.
On peut également accepter certains points de dégradation de l'image, et réduire son poids, sans pour autant la rendre complètement illisible. En clair, les possibilités de compression du PNG sont largement sous-exploitées, car hélas méconnues sur le web.
Pour reprendre un exemple cité dans un test de l'article donné par Laurent Denis :
1. Image originale de 256 couleurs - 20 646 octets
2. Méthode d'encodage différente, mais qualité identique 256 couleurs - 17 844 octets
3. Image volontairement "dégradée" de 96 couleurs - 14 146 octets
etc.
Pour les intéressés, le navigateur Opera à la possibilité d'identifier l'encodage d'une image simplement et de le restituer à l'utilisateur, en affichant simplement la propriétés de l'image (Profondeur x bits/pixels).
Certaines images, disposant de peu de couleurs (4 par exemple) peuvent être encodées sous 2 bits (PNG2), et atteindre des proportions minimalistes très intéressantes pour tout le monde (trafic limité par l'hébergeur pour les webmestres, chargement accru pour les visiteurs).