J'adooore
Cet organisme (qui plutôt que de défendre la langue française, la ridiculise) me fera toujours rire...
Voir aussi ce merveilleux article, mais allez aux toilettes, avant, au cas où

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Excellent : hop, direct sur... le blog !
Modifié par Raphael (07 Jan 2007 - 17:35)

Sylvain a écrit :La page ne se charge pas chez moi
Voir aussi ce merveilleux article

Modifié par Raphael (07 Jan 2007 - 17:35)
Raphael a écrit :
Excellent : hop, direct sur... le blog !![]()
Sur le bloc-notes !



Petit extra
et l'index officiel où vous pourrez trouver les termes liés à l'informatique et l'internet (mais je n'y ai pas trouvé les derniers termes évoqués plus haut)

Modifié par Vajra (07 Jan 2007 - 18:20)
Zdnet.fr a écrit :
La Commission générale de terminologie et de néologie a encore enrichi la langue française de quelques termes à utiliser en lieu et place d’un certain nombre d’anglicismes liés aux nouvelles technologies. Petit bilan des nouveaux termes en vigueur.
Ce soir, vous aurez peut-être envie de regarder un bon blockbuster sur votre home cinema dernier cri, mais la Commission générale de terminologie et de néologie risque d'en prendre ombrage. Songez plutôt à user du bon français pour visionner une "grosse machine" sur votre "cinédom". Vous pouvez d'ailleurs faire sauter les guillemets puisque ces termes ont été consacrés dans le Journal officiel n° 214 du 15 septembre 2006.
Ainsi, est-il également conseillé de réinitialiser sa webcam en cybercaméra, et de parler de coparrainage plutôt que de cobranding. Quant aux veejays, ou video jockeys, ils acquièrent désormais le statut d'imagistes, qui ne font donc rien d'autre que... de l'imagisme. Et en matière audiovisuelle, ne vous avisez jamais plus de parler de story-board mais de scénarimage, c'est tellement moins snob.
Au détour de tous les néologismes anglo-saxons qui envahissent notre champ lexical à la faveur d'une démocratisation galopante des nouvelles technologies, mieux vaut tourner sept fois la langue dans sa bouche, avant de se risquer à injurier la francophonie, et parler par exemple de causette sur MSN Messenger plutôt que de chat, de minimessages plutôt que de SMS ou de messages multimédias plutôt que de MMS.
Si vous voulez manifester vos émotions dans ces conversations électroniques, préférez par défaut les frimousses aux emoticons ou aux smileys.
Surtout, ne vous risquez pas à accepter tous les cookies lorsque vous surfez sur internet, car ce sont en réalité des mouchards. Quant aux fenêtres pop-up qui polluent votre navigation sur le World Wide Web (pardon, sur la toile d'araignée mondiale), veillez à en activer le blocage, car ce ne sont en définitive que des fenêtres intruses.
Pour être sûr d'accéder à toutes les fonctions du web 2.0, installez par ailleurs tous les modules d'extension et appliquettes nécessaires - et non pas des plug-in ou des applets. Ne perdez pas de vue que le webcasting n'est rien d'autre qu'un moyen de diffusion réticulaire, le spamming un procédé détestable d'arrosage, et la hotline un simple service de téléassistance, rarement gratuit.
Enfin, si vous évoquez la vitesse de votre connexion à internet, préférez les éléments binaires par seconde aux bits par seconde. Évitez également d'évoquer la connectivité de vos différents périphériques, car leur aptitude à fonctionner en réseau s'appelle la connectabilité. Quant à la connectivité de votre réseau domestique, elle relève plutôt de la connexité. L'emploi de connectivité n'est pas incorrect mais déconseillé.
Les anglicismes se glissent partout, jusque sur les pages de votre blog, qu'il serait plus séant de qualifier de bloc-notes. Et s'il vous vient à l'esprit de poster une note depuis la salle d'attente d'un aéroport, ne perdez pas de vue que vous n'êtes pas dans un hot-spot mais dans une zone d'accès sans fil. Vous aurez tout loisir d'écouter en même temps une playlist (sic) sur votre baladeur MP3, et d'activer la fonction de fading à la fin de chaque titre, à propos de laquelle vous préférerez parler dorénavant d'évanouissement.
Alors, en fin de compte, les blocs notes, c'est pas si catastrophique hein ?
(j'enlèverai l'article dès que le site sera à nouveau en ligne, je l'ai pris du code source du cache de google...)
Modifié par Sylvain (07 Jan 2007 - 18:20)
Là où ces gens sont dangereux, c'est quand ils qualifient les cookies de "mouchards".
C'est un terme tellement péjoratif qu'on se demande :
- comment ce mécanisme (au bas mot liberticide) peut faire partie depuis presque 10 ans d'un des protocoles fondamentaux du web, à savoir HTTP ;
- comment les navigateurs osent encore implémenter cette fonctionnalité (en ligne directe avec la Gestapo, hopla, salut Godwin) et l'activer de base ;
- comment il peut être conseillé de mieux sécuriser ses sessions en passant par les cookies (ces instruments du Malin) plutôt que par des variables GET.
Non mais vraiment, ces gens ont l'air tellement compétent qu'on devrait les mettre à la tête du W3C, ça pourrait être funky.
C'est un terme tellement péjoratif qu'on se demande :
- comment ce mécanisme (au bas mot liberticide) peut faire partie depuis presque 10 ans d'un des protocoles fondamentaux du web, à savoir HTTP ;
- comment les navigateurs osent encore implémenter cette fonctionnalité (en ligne directe avec la Gestapo, hopla, salut Godwin) et l'activer de base ;
- comment il peut être conseillé de mieux sécuriser ses sessions en passant par les cookies (ces instruments du Malin) plutôt que par des variables GET.
Non mais vraiment, ces gens ont l'air tellement compétent qu'on devrait les mettre à la tête du W3C, ça pourrait être funky.
[mode troll on]
Mdr c'est surtout qu'ils n'y connaissent rien... de toute façon j'ai
une question existancielle : qui va utiliser ces termes ? Concrètement, on parlera toujours de blog, de podquast, de webradio, de cookie, de world wide web... les termes anglais, ça fait classe... en tout cas beaucoup plus que leurs traductions approximatives. Si au moins ils inventaient des mots plus courts...
Les anglais ne se sont pas offusqués lorsqu'ils ont vu apparaître quelques mots français dans leur langue... pourquoi les français, eux, le doivent ?
Messieurs les intégristes de la langue française, sachez également que vous devez vous offusquer contre les grecs, les indiens, les chinois, les allemands, les italiens, les espagnols, les portugais, les russes... car certains mots qualifiés de français proviennent de ces langues.
Vive le troll du lundi matin.
Mdr c'est surtout qu'ils n'y connaissent rien... de toute façon j'ai
une question existancielle : qui va utiliser ces termes ? Concrètement, on parlera toujours de blog, de podquast, de webradio, de cookie, de world wide web... les termes anglais, ça fait classe... en tout cas beaucoup plus que leurs traductions approximatives. Si au moins ils inventaient des mots plus courts...
Les anglais ne se sont pas offusqués lorsqu'ils ont vu apparaître quelques mots français dans leur langue... pourquoi les français, eux, le doivent ?
Messieurs les intégristes de la langue française, sachez également que vous devez vous offusquer contre les grecs, les indiens, les chinois, les allemands, les italiens, les espagnols, les portugais, les russes... car certains mots qualifiés de français proviennent de ces langues.
Vive le troll du lundi matin.
Salut,
[mode fataliste on]
Mais une fois crée la commission se doit d'exister et pour celà produire. La con... n'ayant pas de limite, on peut s'attendre à d'autres saillies aussi savoureuses et inutiles que celles là. Et ça va durer, je ne connais pas de commission qui se soit sabordée, les lambris, les Safranes, les cartes de visite prestigieuses, la considération de sa concierge... c'est dur d'y renoncer.
[mode fataliste off]
[mode fataliste on]
Clémenceau a écrit :
Quand on veut enterrer un problème on crée une commission
Mais une fois crée la commission se doit d'exister et pour celà produire. La con... n'ayant pas de limite, on peut s'attendre à d'autres saillies aussi savoureuses et inutiles que celles là. Et ça va durer, je ne connais pas de commission qui se soit sabordée, les lambris, les Safranes, les cartes de visite prestigieuses, la considération de sa concierge... c'est dur d'y renoncer.
[mode fataliste off]
QuentinC a écrit :
une question existancielle : qui va utiliser ces termes ? Concrètement, on parlera toujours de blog, de podquast, de webradio, de cookie, de world wide web... les termes anglais, ça fait classe... en tout cas beaucoup plus que leurs traductions approximatives. Si au moins ils inventaient des mots plus courts...
Par contre on parle d'ordinateur, alors que la grande majorité du monde non anglophone parle de « computer » (avec une prononciation plus ou moins localisée). Pourquoi ? Parce qu'ordinateur est un mot qui date, et qui s'est imposé. Mais je suis sûr que les premiers mathématiciens et informaticiens confrontés à ces machines ont parlé de « computer », et ont gentiment rigolé quand on leur a dit qu'il existait un terme français inventé pour l'occasion.
« Ordinateur ? Mais personne utilisera jamais ce mot, ça sonne artificiel, on sent bien que c'est un mot fabriqué pour l'occasion, à cause de principes à la con de défense de la langue française ! »

Personnellement, j'utilise souvent courriel (que je trouve sympa, au bout de quelques années, même si dans un premier temps je l'ai trouvé un peu ridicule) comme alternative à e-mail. Parfois, pour être technique ou explicite, je dis plutôt « courrier électronique ».
Mon MPIO hd200 est un « balladeur numérique », ce qui me convient tout à fait. Mon hébergeur web n'est pas un « webhost ». Etc.
Un mot n'est pas intrinsèquement ridicule ou beau ou efficace. La longueur peut être un critère, mais il n'est pas non plus rédhibitoire. N'oublions pas que les sons des langues que nous parlons sont arbitraires : le son n'a aucun rapport solide avec la réalité qu'il décrit. Partant, on peut très bien appeler un « podcast » une « baladodiffusion », pourquoi pas ?
Pour l'instant, je trouve « baladodiffusion » passablement ridicule. Ça sonne bizarrement. Et pourquoi ? Tout simplement parce que je n'en ai pas l'habitude. Si ce mot devient largement utilisé, il deviendra plus familier. Pendant un temps, il se pourrait que « podcast » et « baladodiffusion » coexistent... mais il est probable que l'un des deux l'emportera (enfin... il faut voir aussi si cette pratique n'aura pas disparue avant ça !).
Le critère le plus fiable à mon sens pour la critique des néologismes « de remplacement », c'est la capacité du terme choisi à décrire la réalité visée. De ce point de vue, « baladodiffusion » semble condamné : un podcast n'est pas réservé aux baladeurs numériques. Mais je ne vendrais pas la peau de l'ours lexical avant qu'il ne soit linguistiquement mort.

Par contre, « bloc-notes » me semble très prometteur. Il a une histoire : plusieurs blogueurs (bloc-noteurs ?) l'ont utilisé pour désigner leur blog/bloc-note, soit par volonté de francisation d'un terme anglo-saxon, soit par jeu de mot, souvent pour ces deux raisons. De plus, « bloc-note » me semble suffisamment proche de la réalité qu'il voudrait décrire. Ce mot (ou plutôt cet usage nouveau d'un mot existant) a du potentiel.
Edit : il y a un anglicisme affreux dans ce message, saurez-vous le dénicher ? Note : il ne s'agit pas de podcast, blog ou e-mail.
Modifié par mpop (08 Jan 2007 - 10:26)
Ce qui me semble affreux , ce sont les mots inventés pour absolument remplacer un mot étranger...
On utilise le mot parking alors qu'on se serait habitué à parc à voiture et
d'un autre côté on va chercher à condenser courrier électonique en courriel: on cherche à trouver un mot français en copiant la manière avec laquelle un mot étranger est construit, là où ce n'est pas utile.
si courrier électronique donne courriel, alors pourriel vient de pourri électronique?
Prenons le mot bogue. Un cas celui-là. C'est l'équivalent français de bug, on voit bien que l'idée était partisane en choisissant ce mot. Car le mot bogue existe déjà pour désigner... "l'enveloppe" des chatâignes! Alors qu'il existe un mot français pour remplacer ce mot bug : parasite, car ce mot, parasite, en français peut s'appliquer aux insectes également...
Aurait-on réussi à créer en france des mots sans etymologie? dans ce cas ils ne dureront pas.
il a un blog: en énnonçant ce terme, on comprend de quoi il s'agit.
il a un bloc-notes: sur lui? dans sa poche?
P.S.: pour computer, le terme existait: calculateur et on l'uilisait...
ce qui me gène par contre c'est l'utilisation de mot comme package pour "forfait" ou package pour "lot" ou package pour "offre" etc...
Modifié par Vajra (08 Jan 2007 - 11:47)
On utilise le mot parking alors qu'on se serait habitué à parc à voiture et
d'un autre côté on va chercher à condenser courrier électonique en courriel: on cherche à trouver un mot français en copiant la manière avec laquelle un mot étranger est construit, là où ce n'est pas utile.
si courrier électronique donne courriel, alors pourriel vient de pourri électronique?
Prenons le mot bogue. Un cas celui-là. C'est l'équivalent français de bug, on voit bien que l'idée était partisane en choisissant ce mot. Car le mot bogue existe déjà pour désigner... "l'enveloppe" des chatâignes! Alors qu'il existe un mot français pour remplacer ce mot bug : parasite, car ce mot, parasite, en français peut s'appliquer aux insectes également...
Aurait-on réussi à créer en france des mots sans etymologie? dans ce cas ils ne dureront pas.
il a un blog: en énnonçant ce terme, on comprend de quoi il s'agit.
il a un bloc-notes: sur lui? dans sa poche?
P.S.: pour computer, le terme existait: calculateur et on l'uilisait...
ce qui me gène par contre c'est l'utilisation de mot comme package pour "forfait" ou package pour "lot" ou package pour "offre" etc...
Modifié par Vajra (08 Jan 2007 - 11:47)
Vajra a écrit :
Ce qui me semble affreux , ce sont les mots inventés pour absolument remplacer un mot étranger...
Attention, je ne dis pas qu'il est nécessaire de remplacer les mots étrangers par un équivalent français, ou par un néologisme dont l'étymologie serait d'origine française. Par contre, je ne vois pas de raison absolue de condamner ces efforts.
C'est effectivement une forme de rejet de l'influence de l'anglais sur la langue française. Pourquoi pas, après tout ? C'est bien sûr éminemment politique : reflet de l'anti-atlantisme à la française, affirmation d'une identité nationale dont la langue serait le vecteur. Au Québec, on retrouve également (encore plus fortement sans doute) de telles visées idéologiques. Où est le problème ? Le politique (au sens large) ne devrait pas avoir d'influence sur la langue ? Si c'était le cas, le français tel que nous le connaissons n'existerait pas.
Il y a des influences politiques sur les langues qui sont bien sûr contestable (du moins si l'on énonce précisément pourquoi on les conteste). Faire l'école en français dans certains territoires d'outre-mer pas ou peu francophones, cela pose problème (et il existe tout un débat sur ces questions, mais ça dépasse notre sujet). Mais vouloir remplacer « blog » par « bloc-note » ou « podcast » par « baladodiffusion », c'est quand même plutôt anecdotique, non ? Ça fera partie de la petite histoire de la langue française (quel que soit le résultat), et ça ne bouleversera la vie de personne.
Je ne vois donc pas pour ma part de raison de condamner ces efforts.
Vajra a écrit :
On utilise le mot parking alors qu'on se serait habitué à parc à voiture
Tout à fait. Soit « parce à voitures » n'a pas été proposé, soit il n'a pas pris. Mais ce n'est pas parce que certains mots anglais passent dans la langue française qu'il faudrait s'interdire de proposer des « francisations » (ou qu'il faudrait s'imposer d'en proposer...).
Au passage, « parking » n'est pas utilisé dans la langue anglaise. On parle de :
- « parking lot » aux États-Unis et au Canada ;
- « car park » au Royaume-Uni et en Irlande.
Mais jamais on ne dira « a parking » comme on dit « un parking » en français. Le nom commun « parking » n'existe à ma connaissance qu'en français.
Vajra a écrit :
et d'un autre côté on va chercher à condenser courrier électonique en courriel
Non : on tente de remplacer « e-mail » (abréviation de « electronic mail ») par « courriel » (abréviation de « courrier électronique »). De plus, la langue française s'accommodant mieux que l'anglais des phrases un peu longues et des tournures explicites, l'expression « courrier électronique » y passe très bien, surtout dans un contexte d'élocution un peu formel.
Vajra a écrit :
on cherche à trouver un mot français en copiant la manière avec laquelle un mot étranger est construit, là où ce n'est pas utile.
Bah, l'utilité c'est surfait comme valeur.

Non franchement, si les langues répondaient à des contraintes d'utilité, on se ferait chier quand même.
De plus, certains peuvent voir dans ces modifications proposées (et non pas imposées !) une certaine utilité, peut-être pas linguistique, mais en tout cas politique.
Vajra a écrit :
si courrier électronique donne courriel, alors pourriel vient de pourri électronique?
Non, pourriel vient de courriel (un pourriel est un courriel pourri, donc), qui vient de courrier électronique (par analogie avec e-mail qui vient de electronic mail).
Vajra a écrit :
Prenons le mot bogue. Un cas celui-là. C'est l'équivalent français de bug, on voit bien que l'idée était partisane en choisissant ce mot.
Bien sûr que l'idée était partisane ! La langue est partisane, bordel, c'est pas juste des mots pour communiquer comme les bisounours !
(Bon là je suis un peu emphatique mais en fait je m'énerve pas vraiment hein !

Vajra a écrit :
Alors qu'il existe un mot français pour remplacer ce mot bug : parasite, car ce mot, parasite, en français peut s'appliquer aux insectes également...
En même temps, l'origine du terme « bug » pour décrire un disfonctionnement informatique est anecdotique (les insectes qui venaient se planter dans les circuits des tout premiers calculateurs et ordinateurs...). Donc je vois pas forcément l'intérêt de transcrire le résultat de l'anecdote.
Vajra a écrit :
Aurait-on réussi à créer en france des mots sans etymologie? dans ce cas ils ne dureront pas.
À voir. L'étymologie et l'usage, ça n'est pas la même chose. Nous utilisons quantité de mots et d'expressions sans avoir la moindre idée de leur origine. Pas sûr que ça soit un critère si important que ça...
Vajra a écrit :
ce qui me gène par contre c'est l'utilisation de mot comme package pour "forfait" ou package pour "lot" ou package pour "offre" etc...
Plutôt d'accord. Dans la pub, le marketing, la communication, les anglicismes à deux francs défilent à une vitesse hallucinante. Mais bon, je vais pas obliger les gens à utiliser les mots français qui vont bien. Par contre, si une institution ou entité politique se met en tête de le faire, why not? Si la langue est capable de susciter des débats politiques, je trouve ça plutôt sain.
mpop a écrit :
Attention, je ne dis pas ...
mais je ne m'adressais pas à toi...

mpop a écrit :
Je ne vois donc pas pour ma part de raison de condamner ces efforts.
Les efforts ne sont pas condammés bien au contraire, ce sont certains résultats qui le sont

mpop a écrit :
Au passage, « parking » n'est pas utilisé dans la langue anglaise. On parle de :
- « parking lot » aux États-Unis et au Canada ;
- « car park » au Royaume-Uni et en Irlande.
Mais jamais on ne dira « a parking » comme on dit « un parking » en français. Le nom commun « parking » n'existe à ma connaissance qu'en français.
bien sur, parking évoquant l'idée de stationner
mpop a écrit :
Bien sûr que l'idée était partisane ! La langue est partisane, bordel, c'est pas juste des mots pour communiquer comme les bisounours !
(Bon là je suis un peu emphatique mais en fait je m'énerve pas vraiment hein !)
En même temps, l'origine du terme « bug » pour décrire un disfonctionnement informatique est anecdotique (les insectes qui venaient se planter dans les circuits des tout premiers calculateurs et ordinateurs...). Donc je vois pas forcément l'intérêt de transcrire le résultat de l'anecdote.
Mais parce qu'il y a de fortes chances que le mot bug soit issu de l'expression française "la ligne est parasitée", il y a des parasites sur la ligne, utilisée en télécommunication. et je vois moins encore pourquoi on cherche à franciser un mot anglais alors qu'il existe un équivalent.

mpop a écrit :
le marketing


Lien sympatoche
Modifié par Vajra (08 Jan 2007 - 12:45)
Vajra a écrit :
Lien sympatoche
Oui, je connais un peu (pour les autres : c'est une liste de locutions françaises utilisées par les anglophones, page en anglais sur Wikipédia). Mais c'est toujours bon à savoir.

On peut aussi rappeler que la moitié du vocabulaire anglais vient du français (c'est la faute à Guillaume le Conquérant). Ce qui montre bien que les apports d'une langue à l'autre sont quelque chose de tout à fait normal, et pas un signe d'« invasion linguistique »...
Salut,
@mpop > Étant un ancien de la grande maison Bleue (IBM), je tiens à préciser qu'"ordinateur" est une marque commerciale d'IBM France pour la commercialisation du premier ordinateur destiné au public, L'ordinateur IBM 360. Depuis comme Frigidaire ou Mobylette il est passé dans le langage courant.
@mpop > Étant un ancien de la grande maison Bleue (IBM), je tiens à préciser qu'"ordinateur" est une marque commerciale d'IBM France pour la commercialisation du premier ordinateur destiné au public, L'ordinateur IBM 360. Depuis comme Frigidaire ou Mobylette il est passé dans le langage courant.