(reprise du message précédent)
Effectivement.
Cette possibilité d'exemption peut-elle aussi s'appliquer lorsqu'on est un simple locataire ?
Autre question : si, dans le cadre de l'EI, j'utilise mon propre compte en banque personnel (j'ai lu sur le kit de survie qu'on n'était pas obligé d'ouvrir un compte « pro ») et que ce dernier est dans le rouge, y a-t-il un risque que ce soit pris en compte dans mes éventuelles dettes en tant qu'EI ?
Pourquoi au début ? Ça devient vite casse-tête au bout d'un certain temps ?
Effectivement, l'EI semble être le statut le plus adéquat pour un intégrateur (X)HTML / CSS ayant aussi une expertise en accessibilité (avec un zeste de développement PHP).
Merci pour le graphique.
Si je comprends bien les options et mes besoins, je peux prétendre à la chose suivante :
* EI pour la forme juridique,
* bénéfices non commerciaux pour le type de revenus (je ne vois pas ce que mon métier peut avoir de « commercial », sauf quand je démarche des clients potentiels),
* cotisations sociales auprès du RSI / URSSAF (vu que mon métier ne consiste pas à créer de quoi appliquer des droits d'auteur, contrairement aux graphistes, donc ni MDA ni AGESSA).
En outre, je suppose qu'en étant en EI, je ne suis pas redevable de l'impôt sur les sociétés, mais devrai tout déclarer au fisc via la déclaration de revenus (autrement dit, au titre de l'impôt sur le revenu).
Jusque là, est-ce correct ou ai-je dit une bêtise ?
Justement, je sèche un peu à propos du régime fiscal et de la TVA. Si j'ai bien compris ton graphique, si j'opte pour le régime fiscal spécial BNC, je suis contraint à ne pas facturer la TVA, c'est ça ?
Ce plafond s'applique-t-il au régime fiscal spécial BNC ? Autrement dit, si je ne veux pas m'enquiquiner avec les plafonds, dois-je opter pour la déclaration contrôlée ? Si oui, cela implique-t-il une facturation systématique de la TVA ?
Merci de m'éclairer.
yosh a écrit :
Il faut faire selon ses besoins. En fait si ça te tente tu pourrais ouvrir dès aujourd'hui une SA avec des actionnaires, mais je pense que ce serait disproportionné.
Effectivement.

yosh a écrit :
Dans une entreprise individuelle (= un individu) tu es en nom propre, tu es une personne physique et non morale. Conclusion : si tu fais pour 100.000 de dettes, c'est toi, victor brito, qui devra raquer 100.000 euros à tes débiteurs quoi qu'il arrive, en vendant tes biens persos si necessaire (sauf depuis recemment on peut en exempter la résidence principale mais bref, tu vois l'idée).
Cette possibilité d'exemption peut-elle aussi s'appliquer lorsqu'on est un simple locataire ?
Autre question : si, dans le cadre de l'EI, j'utilise mon propre compte en banque personnel (j'ai lu sur le kit de survie qu'on n'était pas obligé d'ouvrir un compte « pro ») et que ce dernier est dans le rouge, y a-t-il un risque que ce soit pris en compte dans mes éventuelles dettes en tant qu'EI ?
yosh a écrit :
en fait c'est comme le web sémantique, mais pour les entreprises, c'est fastoche (enfin au début)![]()
Pourquoi au début ? Ça devient vite casse-tête au bout d'un certain temps ?

yosh a écrit :
Donc comme tu le vois le choix d'un statut n'est pas dû au hasard, ça dépends de ce que tu recherches. Si c'est une entreprise risquée d'achats/revente de tonnes de kiwi venant du bout du monde, peut être ne fauit il pas prendre le risque d'être criblé de dettes. Si c'est des prestation d'intégration pour lesquelles tu n'auras pas ou peu de débiteurs, alors c'est plus simple d'être en EI.
Effectivement, l'EI semble être le statut le plus adéquat pour un intégrateur (X)HTML / CSS ayant aussi une expertise en accessibilité (avec un zeste de développement PHP).
yosh a écrit :
ça c'est pour la forme juridique, à ça viennent se greffer des options, que tu dois choisir selon tes besoin (entreprise commerciale ou non, gros investissements ou non, clients étranger ou non, vente de droits d'auteur ou non, etc...)
mais pour peu qu'on ait compris le mécanisme et qu'on ne mélange pas les torchons et les serviettes, c'est assez simple.
trèsve de blabla, j'ai fait un graph qui explique tout ça quand on a choisi l'entreprise individuelle (pour l'eurl je ne connais pas assez)
Merci pour le graphique.

Si je comprends bien les options et mes besoins, je peux prétendre à la chose suivante :
* EI pour la forme juridique,
* bénéfices non commerciaux pour le type de revenus (je ne vois pas ce que mon métier peut avoir de « commercial », sauf quand je démarche des clients potentiels),
* cotisations sociales auprès du RSI / URSSAF (vu que mon métier ne consiste pas à créer de quoi appliquer des droits d'auteur, contrairement aux graphistes, donc ni MDA ni AGESSA).
En outre, je suppose qu'en étant en EI, je ne suis pas redevable de l'impôt sur les sociétés, mais devrai tout déclarer au fisc via la déclaration de revenus (autrement dit, au titre de l'impôt sur le revenu).
Jusque là, est-ce correct ou ai-je dit une bêtise ?
yosh a écrit :
- L'EI n'est limité à aucun CA
- la TVA n'est pas liée à l'EI
- travailler en "TTC" (en fait c'est du net et pas du TTC, puisque par définition y'a pas de taxes et TTC ça veut dire toutes taxes comprises) n'est pas forcement handicapant pour bosser avec des pros
Justement, je sèche un peu à propos du régime fiscal et de la TVA. Si j'ai bien compris ton graphique, si j'opte pour le régime fiscal spécial BNC, je suis contraint à ne pas facturer la TVA, c'est ça ?
yosh a écrit :
le plafond dont tu parles (de 32.000 euros soit dit en passant, et pas 27.000) est celui de la MICRO ENTREPRISE, une options de l'EI. Ça n'est donc pas lié à l'EI. je connais des frees qui font 100.000 euros de CA et qui sont en EI.
Ce plafond s'applique-t-il au régime fiscal spécial BNC ? Autrement dit, si je ne veux pas m'enquiquiner avec les plafonds, dois-je opter pour la déclaration contrôlée ? Si oui, cela implique-t-il une facturation systématique de la TVA ?
Merci de m'éclairer.
