W3Schools a pondu ses statistiques pour décembre et janvier. Ça baisse pour IE 6 (45,3 et 42,3% respectivement) et IE 7 franchit la barre des 10% (10,7 et 13,3% respectivement), cependant que Firefox franchit celle des 30% (30,3 et 31% respectivement).
Quant à The Counter, il accorde 20% de parts d'utilisation à IE 7 (63 pour IE 6 et 11 pour Firefox).
L'espoir fait vraiment plus que vivre.
Modifié par Victor BRITO (31 Jan 2007 - 13:29)
Quant à The Counter, il accorde 20% de parts d'utilisation à IE 7 (63 pour IE 6 et 11 pour Firefox).
L'espoir fait vraiment plus que vivre.
Modifié par Victor BRITO (31 Jan 2007 - 13:29)
Il semble que si Internet Explorer 7 a été beaucoup téléchargé, c'était comme beaucoup l'avait prédi à cause des alertes de sécurité. Ainsi, la plupart de ceux qui utilisent un navigateur alternatif ont tout de même installé Internet Explorer 7 pour calmer le centre de sécurité de windows, et sont retournés sur leur navigateur usuel.
Sylvain a écrit :
Il semble que si Internet Explorer 7 a été beaucoup téléchargé, c'était comme beaucoup l'avait prédi à cause des alertes de sécurité. Ainsi, la plupart de ceux qui utilisent un navigateur alternatif ont tout de même installé Internet Explorer 7 pour calmer le centre de sécurité de windows, et sont retournés sur leur navigateur usuel.
C'est tout moi ca ! IE7 installé mais j'utilise FF ou Opéra !
D'après The Counter, au bout d'une dizaine de jours depuis les calendes de février, IE 7 continue son ascension irrésistible avec 24% de parts d'utilisation, IE 6 descendant à 58%.
Ne désespérons pas, mes amis, la bête noire finira par être terrassée!
Ne désespérons pas, mes amis, la bête noire finira par être terrassée!
Laurent Denis a écrit :
oui
Ce n'est pas parce qu'on peut le faire que c'est à faire
Mais bon, c'est vrai dans le cas de la cédille:
Site de l’Académie française, rubrique La langue française, "Questions courantes", article "Accentuation des majuscules" a écrit :
Quant à l'utilisation des accents sur les majuscules, il est malheureusement manifeste que l'usage est flottant. On observe dans les textes manuscrits une tendance certaine à l'omission des accents. Il en va de même dans les textes dactylographiés, en raison notamment des possibilités limitées qu'offrent les machines traditionnelles. En typographie, enfin, certains suppriment tous les accents sur les capitales sous prétexte de modernisme, en fait pour réduire les frais de composition.
Il convient cependant d'observer qu'en français, l'accent a pleine valeur orthographique. Son absence ralentit la lecture, fait hésiter sur la prononciation, et peut même induire en erreur.
On veille donc, en bonne typographie, à utiliser systématiquement les capitales accentuées, y compris la préposition À, comme le font bien sûr tous les dictionnaires, à commencer par le Dictionnaire de l'Académie française, ou les grammaires, comme le Bon usage de Grevisse, mais aussi l'Imprimerie nationale, la Bibliothèque de la Pléiade, etc. Quant aux textes manuscrits ou dactylographiés, il est évident que leurs auteurs, dans un souci de clarté et de correction, auraient tout intérêt à suivre également cette règle, en tirant éventuellement parti des ressources nouvelles que peuvent offrir les traitements de texte modernes.
Il en va de même pour le tréma et la cédille.
Dans le Bon Usage de Grevisse, cela est rappelé aux § 86a : "Dans l'écriture manuscrite, on néglige souvent de mettre les accents sur les majuscules, ou même sur les capitales, ce qui est fâcheux", et 101 "les accents, ainsi que la cédille, se mettent aux majuscules".
Modifié par SuD (12 Feb 2007 - 19:00)
Laurent Denis a écrit :Oui, enfin, le fait qu'il existe un caractère Unicode correspondant ne répond pas à ma question.
oui
Par exemple, les journaux n'utilisent pas à ma connaissance d'accentuation sur les majuscules. Je suppose qu'il y a une raison à cela.
<edit>Merci pour la citation, SuD.</edit>
Modifié par Julien Royer (12 Feb 2007 - 19:02)
Salut,
La raison est en fait l'héritage de pratiques qui datent du plomb (linotype) et des performances des rotatives.
Les capitales accentuées, notamment placées dans les titres, intertitres, premières lignes de paragraphes, etc. étant généralement précédées d'un espace, elles n'étaient donc pas "protégées" comme celles placées à l'intérieur d'un texte, ce qui provoquait rapidement une altération de l'accent, voire sa disparition.
Pour éviter que dans une même phrase ou titre, certaines capitales soient accentuées et d'autres pas, l'usage de ne plus en mettre fut rapidement pris.
Les photocomposeuses n'ont guère amélioré les choses : les matrices utilisées pour le flashage n'avaient pas forcément tous nos caractères.
J'ai le souvenir de belles empoignades avec les correcteurs : certains (les "vieux typo") retournaient les pages parce qu'il manquait les capitales accentuées ; d'autres justement parce qu'elles étaient présentes !
La raison est en fait l'héritage de pratiques qui datent du plomb (linotype) et des performances des rotatives.
Les capitales accentuées, notamment placées dans les titres, intertitres, premières lignes de paragraphes, etc. étant généralement précédées d'un espace, elles n'étaient donc pas "protégées" comme celles placées à l'intérieur d'un texte, ce qui provoquait rapidement une altération de l'accent, voire sa disparition.
Pour éviter que dans une même phrase ou titre, certaines capitales soient accentuées et d'autres pas, l'usage de ne plus en mettre fut rapidement pris.
Les photocomposeuses n'ont guère amélioré les choses : les matrices utilisées pour le flashage n'avaient pas forcément tous nos caractères.
J'ai le souvenir de belles empoignades avec les correcteurs : certains (les "vieux typo") retournaient les pages parce qu'il manquait les capitales accentuées ; d'autres justement parce qu'elles étaient présentes !
Je dépoussière le sujet.
D'après W3Schools, en février, IE 6 est passé sous la barre des 40% (39,8 %), IE 7 se hissant à 16,4% et Firefox à 31,2%. Quant à The Counter, il voit du 58-24-11,comme lors de mon dernier relevé.
Pour les 29.2 premiers jours de mars, The Counter voit une stabilisation d'IE 6 à 58% et une progression de un point d'IE 7 et de Firefox, à 25 et 12% respectivement.
D'après W3Schools, en février, IE 6 est passé sous la barre des 40% (39,8 %), IE 7 se hissant à 16,4% et Firefox à 31,2%. Quant à The Counter, il voit du 58-24-11,comme lors de mon dernier relevé.
Pour les 29.2 premiers jours de mars, The Counter voit une stabilisation d'IE 6 à 58% et une progression de un point d'IE 7 et de Firefox, à 25 et 12% respectivement.
W3Schools a enfin pondu ses chiffres pour le mois de mars.
C'est une évolution en douceur : IE 7 atteint les 18% (contre 16,4 le mois dernier), tandis qu'IE 6 continue à baisser, mais plus lentement (38, 7%, contre 39,8), Firefox progressant encore plus lentement (31,8%, contre 31,2).
C'est une évolution en douceur : IE 7 atteint les 18% (contre 16,4 le mois dernier), tandis qu'IE 6 continue à baisser, mais plus lentement (38, 7%, contre 39,8), Firefox progressant encore plus lentement (31,8%, contre 31,2).
Pour le mois d'avril, The Counter pond d'étranges résultats : si IE 6 descend à 56%, pendant que Firefox reste à 12%, IE 7 descend à 14% !
Comment expliquer ce phénomène étrange ? En attendant les statistiques de W3Schools, admettons que la vérité de la baisse d'IE 7 est ailleurs.
Modifié par Victor BRITO (02 May 2007 - 15:44)
Comment expliquer ce phénomène étrange ? En attendant les statistiques de W3Schools, admettons que la vérité de la baisse d'IE 7 est ailleurs.
Modifié par Victor BRITO (02 May 2007 - 15:44)
Pour W3Schools, rien d'anormal : pour le mois d'avril, IE 7 continue à grimper et IE 6 à baisser, parvenant respectivement à 19,2 et 37,3%, Firefox atteignant les 32,9%.
Ça progresse lentement, mais sûrement.
Ça progresse lentement, mais sûrement.