paolo a écrit :
[...]
Un avantage des bases Nosql telles que couch, c'est de ne pas avoir de structure fixe et de pouvoir évoluer facilement. Les données sont structurées de manière moins rigide, sous la forme de 'documents' [...]
C'est là ou je vois l'intérêt du système NoSQL, un site de E-commerce par exemple, présentant ces fiches produits en lecture seule (dans la grande majorité des cas). Avec une transactionnelle pour gérer les rollback des transactions, et les accés concurrentiels au stock.
C'est flexible, le master peut répliquer trés vite dans la mesure ou il n'a pas besoin de créer de nouveau champs sur toute la table.
a écrit :
Le choix d'une techno (node) ne permet pas de scaler magiquement. C'est un peu plus compliqué
Oui ca, j'en suis conscient qu'il y a d'autres mécanismes à mettre en place pour garantir la scalabilité et la haute disponibilité (load-balacing, multipathing, sharding, et j'en passe selon les besoins de l'applicatif)
Mon interrogation se porte surtout sur les grandes différences entre ces bases NoSQL. Mon besoin n'est pas défini, il s'agit surtout de me preparer à la transition du tout SQL encore très fréquent, vers des modèles hybrides ou totalement NoSQL.
Par exemple quelle base NoSQL, semble le plus convenir pour un système de partage de session et d'un champs anti-CSRF.
Si Redis est orienté clef:valeur par exemple, ce n'est pas approprié pour un stockage type document par exemple (enfin j'imagine que stocker un objet JSON dans la valeur d'une clef n'est pas des plus optimisé). MongoDb semble plus approprié dans ce cas
Enfin voila, j'aimerais connaitre un peu les subtilités de cet ordre, pour ne pas avoir à me farcir toutes les docs, de toutes les SGBD NoSQL, puis d'en faire un comparatif.
D'ou l'appel à témoin si je puis dire.